Max et ses femmes, Max est heureux. - Histoires de Sexe

Max et ses femmes, Max est heureux.

... coquines.
— Comme lire un SAS ?
— Voilà, quelque chose qui ne vous tient pas en haleine. Vous ne ressentez pas le besoin d’aller au bout. Une fois fini, vous passez à autre chose facilement.
— Il existe un site internet qui diffuse des récits cours et certains passionnants c’est Revebebe, cela devrait vous distraire, lui indique Lydia.
— Je ne connais pas, je regarderai. J’ai besoin de passer un coup de fil, dit Max en mettant son clignotant. Je vous offre un café en attendant ?
— Je veux bien, merci.
— Vous pouvez m’en commander un, j’en ai pour deux minutes, dit-il en se garant.

Lydia se dirige vers la cafétéria, Max la regarde et apprécie le spectacle de ses fesses qui balancent, cela lui semble un peu exagéré. Il passe son coup de téléphone et la rejoint à l’intérieur. Une fois assis, il voit sur le bord de l’échancrure, un tatouage Il devine l’amorce de deux seins pleins et ronds dont les pointes apparaissent malgré la dentelle de la lingerie et le tissu de la tunique.

— J’ai remarqué votre tatouage sur votre cheville, il paraît que c’est douloureux à cet endroit ?
— Effectivement, directement sur l’os, ça vous tire les larmes ! Toutes les parties du corps sont sensibles sous l’aiguille, précise Lydia.
— Ah ! c’est quoi alors qui vous a poussé à vous faire tatouer ?
— Les tatouages sont devenus une mode ces dernières années, mais moi ça fait longtemps que je suis tatouée. Le premier tatouage, j’avais tout juste dix-huit ans, depuis je ne me suis pas ...

... arrêtée, j’en ai un peu partout.
— J’imagine qu’ils ont une signification ?
— Disons qu’ils correspondent à quelque chose, à un moment de ma vie.
— Le premier à quoi correspond-il ? À votre liberté trouvée ou à votre premier amour ?
— Le premier est en haut de la cuisse, il est réservé à celui qui a accès, précise-t-elle.
— En plus ils sont mystérieux ! Ne me dites pas qu’ils ont un double sens.
— C’est le propre du tatouage, il y a ce que l’on voit et le reste… dit-elle en suspens.
— Vous êtes énigmatique, vous aiguisez ma curiosité.
— Disons que j’ai un jardin secret et je garde la clef. Et vous ? Vous aimeriez que je vous questionne sur vos tatouages ou sur vos attitudes.

Elle s’est sentie un peu agressée.

— Je n’ai pas de tatouages et qu’est-ce que vous entendez sur mes attitudes ?
— Votre façon de jouer avec votre stylo pendant un entretien ou la façon dont vous regardez les femmes ?

Une fois la phrase lâchée, elle regrette.

— Pour le stylo, c’est machinal, pour le regard sur les femmes, c’est bienveillant. La preuve, c’est qu’il y en a qui joue avec, dit-il en la fixant.
— Et donc ça vous donne bonne conscience ?
— Je suis le plus discret possible, et je n’insiste pas, afin de ne pas faire le pervers.
— Et votre femme ! Elle apprécie vos regards sur les autres ?
— Ma femme, je ne l’empêche pas de regarder. Écoutez, ce n’est pas parce qu’on est au régime qu’on n’a pas le droit de regarder la carte, surtout si on m’invite, dit-il en la fixant de ...