Max et ses femmes, Max est heureux. - Histoires de Sexe

Max et ses femmes, Max est heureux.

... Vous pouvez utiliser le local à côté des sanitaires femmes, il ferme à clef, car nous n’avons pas de vestiaire femmes, lui répond la personne de l’accueil.
— Pouvez-vous me prêter les clefs de la voiture pour que je récupère mes affaires ? demande Lydia à Max.
— Bien sûr, tenez.

Max continue de discuter avec son client. En passant, Lydia lui rend les clefs, avant de se diriger vers le vestiaire.

— Je vous attends à la voiture, lui dit Max.
— OK, à de suite.

Max prend le soleil en cette belle journée de printemps, il voit arriver Lidia qui a troqué son jean et sa veste de chantier pour un legging type pantacourt, une tunique tenue à la taille par une ceinture et elle porte des chaussures semi-ouvertes à talon compensé. Max remarque lorsqu’elle passe devant lui que la ceinture qui est large et serrée fait ressortir sa poitrine et met en valeur ces fesses rebondies, sans doute dues au sport.

Alors que Lydia s’installe dans la voiture, Max remarque le tatouage qui part du pied et remonte sur le mollet gauche, ce sont des roses de couleur foncée reliées entre elles par une tige qui fait des arabesques. Ils prennent la route avant de faire une pause pour se restaurer. Pendant qu’ils déjeunent, leur discussion porte sur ce qu’ils ont vu et fait le matin. Lui à un peu de mal à rester concentré, car la tunique offre un décolleté qui attire son regard, ce qui n’échappe pas à Lydia. Pendant que Max paye au comptoir de la brasserie, elle va se rafraîchir. À son retour, ...

... elle a défait un bouton supplémentaire de son décolleté, ce que remarque Max, évidemment. Dans la voiture les échanges ne sont plus professionnels.

— Dans votre CV, vous avez marqué que vous lisiez, quel type de livre lisez-vous ?
— Des thrillers et des romans policiers, principalement.
— C’est la même chose hormis qu’un est anglais et l’autre français, non ?
— Je fais une petite différence, le thriller est le récit d’un fait divers basé sur du réel. Le roman est plus une histoire, on peut trouver des personnages ou des histoires ajoutées et inventées, la narration est romancée.
— Ah, vous voyez ça comme ça ! et vous avez des exemples ?
— Le livre de Jean-Christophe Grange« La terre des morts » est un thriller, c’est l’histoire d’une enquête policière et il ne déborde pas de ce cadre. Le livre de Laurel Geiss« La part de l’ombre » est un roman policier, elle raconte la vie de personnages autour d’un fait divers.
— Je connais le livre de Jean-Christophe Grange, il est dur, voire gore, mais j’ai bien aimé. Je ne connais pas le livre de Laurel Geiss.
— Vous lisez aussi ? questionne Lydia.
— Oui, je ne suis pas un assidu, mais j’ai toujours un livre sur ma table de nuit.
— Et que lisez-vous ?
— Un peu comme vous et quelques romans plus légers, plus simples pour me détendre.
— C’est vrai que dans« La terre des morts », les scènes sont rudes, mais il est très prenant. C’est quoi qui vous détend ?
— Des romans à l’eau de rose où les intrigues sont simples, voire un peu ...