1. Mariage Kabyle (3)


    Datte: 28/01/2022, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    Le petit-déjeuner avalé et après une toilette plus qu’approfondie au vu de tout ce qu’il m’avait mis, nous avons rejoint le centre du village vers 10 heures. Plusieurs voitures stationnaient, entourées par des groupes de jeunes, prêts au départ, dont Réda.
    
    — On va à Tizi, Tonton, tu viens avec nous ?
    
    — Pas trop envie de la ville et Omar a proposé de m’emmener en balade aux alentours.
    
    — Pour te montrer les cailloux, les chèvres et les oliviers ?
    
    Il est parti d’un grand éclat de rire. C’est vrai que c’était toujours un sujet de plaisanterie entre nous. Mon fils m’avait souvent dit que la Kabylie n’était que chèvres, cailloux et olives. Devant lui, Réda a voulu nous prouver le contraire en nous montrant un documentaire de sa région sur le Net... Lequel documentaire ne montrait... Que des cailloux, des chèvres et des oliviers. Nous étions pétés de rire tous les trois, sachant bien que ce magnifique endroit ne se bornait pas qu’à ça, et l’huile d’olive de Kabylie est une pure merveille.
    
    En retrait, Omar dardait ses yeux ténébreux sur moi, se demandant si j’allais partir avec eux ou rester avec lui. Un bisou à Réda, et une fois les jeunes sur le départ, le sourire lui est revenu quand il m’a vu le rejoindre, et pas que le sourire si j’en jugeais la protubérance de son entrejambe. Il est resté quand même plutôt sage lorsque nous sommes allés chez lui pour prendre nos sacs et partir sur le chemin de notre promenade.
    
    Ma chatte me faisait encore super mal de tous ...
    ... les assauts qu’elle avait subis cette nuit, mais sans masochisme aucun, j’aimais cette douleur... C’était celle de la femelle baisée, couverte, saillie par le mâle... Celle de la femelle comblée.
    
    Déjà, rien que d’avoir une de ses mains dans la mienne et l’autre caressant mon dos et mes fesses, je me sentais humide entre mes cuisses, réclamant l’appel de la bite. A quelques centaines de mètres de notre départ, endroit désert, Omar m’a bousculée sur un tronc d’arbre, baissant le faible rempart de mon pantacourt, son pieu forant mon puits dans lequel il s’est introduit sans ménagement. J’étais à nouveau prise... Quel délice... !!!
    
    Précautionneux, j’avais toujours dans mon sac des lingettes nettoyantes ainsi que des protections de slip, sachant que tout ce bon jus de mâle allait s’écouler de moi pendant notre marche. J’étais vraiment épanouie et je retrouvais le plaisir de me faire sauter plusieurs fois par jour, comme ce que j’avais vécu avec Ilyas, mais en plus, par un membre phénoménal auquel ma chatte commençait à bien se formater, pour son plus grand plaisir. Certes vu sa taille, la douleur était toujours présente, mais s’atténuait progressivement du fait de nos copulations intenses et fréquentes. Il était toujours « en forme » comme s’il cherchait à rattraper un long retard, cette quête d’amour, de désir et de sexe dont il avait tant besoin.
    
    Cette balade fut vraiment merveilleuse, la découverte de cette région que je ne connaissais que par des vidéos, nature encore ...
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