1. Les coulisses du tournage


    Datte: 28/01/2022, Catégories: fh, hplusag, amour, fsoumise, hdomine, Oral Partouze / Groupe fsodo, jouet, sm, Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe

    ... reflets, moi couché sur son dos, elle avec la robe relevée sur sa taille, sans slip, sans plug anal. J’ai écarté ses jambes, ai pointé ma queue vers son petit trou.
    
    — Plus besoin du plug anal, Emma. Tu vas me prendre.
    
    Elle s’est regardée dans les yeux, puis a acquiescé en me fixant. Elle a ouvert ses fesses à mon sexe.
    
    Maintenant, je suis immobile dans son cul, et nos yeux s’observent dans le miroir. Je bouge un peu, Emma ouvre sa bouche, soupire, je reviens en elle, recule un peu, suis son mouvement de corps et après quelque temps d’adaptation, c’est Emma elle-même qui me donne un coup de hanche. Je sais maintenant qu’elle est prête.
    
    Et pour sa première sodomie, elle m’offre un puissant spectacle de luxure. Elle en redemande, sa robe débraillée, ses cheveux emmêlés, je l’encule avec plaisir parce que son corps a accepté ce plaisir nouveau.
    
    C’est sur un cri reconnaissable entre tous, un râle excessif, provenant du plus profond de son corps, et au tremblement de celui-ci, que j’éjacule en elle, tenant ses fesses de mes mains, regardant son visage aux yeux fermés approuvant la sensation. Puis elle ouvre les yeux, me voit, sourit…
    
    — Marwan ! Tu viens de m’enculer !
    — Oui. Je te l’avais dit. Je t’avais dit qu’on irait loin…
    
    Le tournage du film « L’amour est là où le train passe », scénarisé par Olivier, mon vieil ami, avait commencé et toute l’équipe était professionnelle. Des accessoiristes aux maquilleurs/maquilleuses, en passant par les costumiers, ...
    ... cascadeurs, cadreurs, assistants opérateur, photographes de plateau, machinistes, techniciens et encore, chacun faisait son boulot comme les experts qu’ils étaient. Le réalisateur succédait les scènes. Chaque plan de caméra, déjà dessiné, était minutieusement préparé et nous, les comédiens, suivions le rythme exigé.
    
    Alice avait à moitié pardonné mon refus de lui faire l’amour dans sa maison de ville le soir où elle m’avait invité à dîner chez elle. Nous avions pratiqué nos scènes dialoguées, nous avions de la bouteille, connaissions chacun comment faire vivre nos personnages. Cette expérience allait transparaître à l’écran, nos personnages s’appréciaient et se rapprochaient : en effet, il y avait deux scènes lascives que je devais jouer avec Alice, qui à l’époque avait été mannequin contemporain de Claudia Schiffer.
    
    Nous nous sommes retrouvés, seuls sur le plateau, attendant la mince équipe technique qu’il y aurait. Alice, vêtue de son costume de rebelle post-apocalyptique et moi, alité, car mon personnage s’était fait blesser, entouré d’un simple pagne, appréhendions les futures scènes.
    
    — Nous ferons simplement ce que le réal’ demande.
    — Oui, lui ai- je répondu.
    — Nous avons déjà fait des scènes comme ça…
    — Oui.
    
    L’équipe technique, réduite à deux cameramen, un cadreur, un scripte, deux techniciens de son, le réalisateur, et ses deux assistants, sont arrivés. Finalement, Olivier est venu aussi assister à la scène. Le réalisateur a tenté de l’en dissuader :
    
    — Nous ...
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