Alicia et son papa (34)
Datte: 28/01/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... souffrance et de frustration de ne pouvoir jouir, privée de volonté et de libre arbitre par ces brutes qui abusaient de moi pour leur plus grand plaisir.
Au petit matin, avant d’ouvrir le centre, Raul saisit ma chevelure poisseuse, comme je n’arrivais pas à tenir sur mes jambes tremblantes, il me traîna dans la cellule. La première chose que je vis fut le pal dressé au beau milieu de la minuscule pièce. Un cylindre au bout arrondi et au tronc conique de plus de cinquante centimètres de long.
— Tu vas passer la journée dessus, veinarde. Bien sûr, tu ne le recevras pas tout, mais la moitié du pal devrait te combler. Regarde l’épaisseur à mi-hauteur...
— Il va me déchirer, Monsieur, protestai-je, paniquée.
— Penses-tu ? ricana-t-il. Pour une salope comme toi, ce n’est rien. Allez, en selle !
J’obéis, bien sûr. En grimaçant, je me positionnai au-dessus du pal et le guidai contre mon anus boursouflé qui s’ouvrit aussitôt pour accueillir l’intrus. Privée de forces, je tombai à genoux, m’empalant au-delà du supportable. Je hurlai de douleur, incapable de me relever toute seule. Organisé, Raul me bâillonna avec une grosse boule de plastique percée de nombreux trous, avant de menotter mes poignets à mes chevilles.
— Au moins, comme ça tu ne nous emmerderas pas avec tes cris. Et tu pourras te concentrer sur tes fautes, tes défauts et tes manquements. Tu veux des pinces à tétons ? Non ? Dommage. Regarde ces deux, s’ils sont jolis. Oui, des pinces crocodile en acier. ...
... Avec des poids au bout, tu vas déguster. Tu pisses ? Que tu es sale !
Incapable de me retenir, j’étais en train d’uriner, folle de terreur. Je secouai la tête frénétiquement, en signe de dénégation. Bien sûr, Raul ne tint pas compte de mes supplications et referma les cruelles pinces sur mes aréoles gonflées. Je sanglotais quand il referma la porte de la cellule, me plongeant dans le noir absolu. Seule avec la souffrance de mes seins torturés, seule avec mes pensées.
Le soir, quand papa me libéra, je ne lui dis rien. S’il fut surpris par mon mutisme, il n’en montra rien. J’allai me doucher, restant longtemps sous l’eau chaude pour chasser les fantômes de cette journée. Puis je m’habillai, jean, tee-shirt, gros pull. Chaussée de tennis, je rejoignis papa et Raul dans le salon.
— Tu fais quoi dans cette tenue ? s’énerva Raul. Tu devrais être à poil et la bouche ouverte pour nous sucer.
— Non. C’est fini. J’en ai assez d’être votre souffre-douleur et je me casse. Définitivement cette fois. Pour être tranquille, je vais même quitter la France.
Raul, éberlué, fixa mon père pour voir comment celui-ci allait réagir. Papa, silencieux, me considérait avec gravité. Ce qu’il vit en moi lui fit hocher la tête.
— Bien. Ali, suis-moi, s’il te plaît. J’ai quelque chose à te remettre.
Dans le bureau, il ouvrit le coffre et en sortit une pochette de cuir qu’il me tendit.
— Je suis désolé de n’avoir su te garder, Ali. Tu resteras à jamais ma fille aimée et si tu as besoin ...