Alicia et son papa (34)
Datte: 28/01/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
Arrivée dans la chambre baisodrome, je me suis allongée sur le lit, cuisses remontées et écartées pour offrir mon intimité à Raul. Il dut batailler ferme pour faire passer le gros jonc du cadenas dans les piercings. En effet, ceux-ci s’étaient un peu refermés depuis le jour où papa m’avait chassée. Je grimaçais alors que le géant forçait la chair de ma vulve à s’ouvrir suffisamment. Un claquement métallique m’apprit que le mécanisme s’était refermé. Je poussai un soupir de soulagement ; ce cadenas, c’était une marque d’engagement puissant entre Raul et moi, une bague de fiançailles, comme il l’avait dit un jour.
— Parfait, dit-il. Comme ça, ta chatte est interdite d’accès pour tous les types avec qui tu avais l’habitude de baiser.
— Mais, commençai-je avant de me reprendre. Merci Monsieur, pour ce cadenas.
Je pus ensuite aller aux toilettes pour nettoyer et lubrifier mon colon. Je m’y rendis en marchant lentement, inexplicablement heureuse de sentir le poids conséquent du gros cadenas en métal qui tirait sur ma vulve. Moins d’une minute après mon retour, papa m’embrochait avec la délicatesse d’un bouc en rut. Mon anus était certes bien préparé, mais je n’avais pas été sodomisée depuis une trentaine de jours. Autant dire que mes muscles avaient perdu de leur souplesse et que l’intromission fut particulièrement douloureuse. À genoux et les fesses bien tendues, je mordais le drap pour ne pas hurler et je l’inondais de larmes, alors que mon père me prenait de toutes ...
... ses forces. Soudain, il s’arracha de moi et recula.
— À toi, camarade. Sinon je vais jouir trop vite, vas-y, casse-lui le cul.
— Merci, Arnaud. Je vais essayer de faire aussi bien que toi, tu l’as déjà bien démoli.
Du coin de l’œil, je le vis approcher de moi. Sa formidable flamberge me semblait encore plus épaisse et longue que dans mon souvenir, et je m’inquiétai un peu. Je hurlai à nouveau quand il me pourfendit d’un coup de reins brutal. Sous le coup de la douleur, j’urinai même un peu sous moi. Heureusement que j’étais passée aux toilettes un peu plus tôt, sinon j’aurais été submergée par la honte.
Raul sortit entièrement son mandrin phénoménal et le replongea avec encore plus de violence, me sembla-t-il. Je peinai à garder la position, arc-boutée et offerte, et fut récompensée par des claques sèches sur mes pauvres fesses. Lui n’en avait cure, il pilonna mon anus à coups redoublés en me tirant à lui de ses mains crochées sur mes hanches en même temps qu’il me pourfendait à coups puissants. Je poussais des cris de gorge, les yeux voilés par la montée de la jouissance. Je n’avais pas besoin de glisser un doigt dans les replis de mon sexe pour vérifier si j’étais mouillée, tellement mon ventre était lourd et brûlant.
— Suce, et surtout ne jouis pas, petite chienne en chaleur, intima mon père en me présentant son braquemart.
Éperdue, les yeux voilés par le plaisir, j’engloutis plus de la moitié de sa longue et épaisse colonne bien raide et me mis à pomper ...