Je ne suis pas lesbienne, mais... (7)
Datte: 27/01/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: airdepanache, Source: Xstory
... qu’elle devrait plus souvent lui faire des petits cadeaux...
Mais tout cela n’est qu’un préliminaire. Excitée par l’émoi de son amante, Patricia attrape du bout des doigts le gode-ceinture qu’elles ont acheté ensemble : facile à mettre, noir, presque design. Aucune des deux ne souhaitait qu’il ressemble à un pénis. Leurs premières expérimentations avec cet engin tenaient de la tragi-comédie, mais avec un peu de pratique, elles en ont fait un merveilleux ingrédient de leurs étreintes. Patricia adore prendre Noëlla de cette manière, sentir qu’elle lui appartient, qu’elle se donne toute entière. Le temps de serrer les sangles et il est en place.
C’est le moment qu’elle préfère : celui où Noëlla est offerte, prête à la recevoir en levrette, son dos cambré et ses petites fesses blanches offrant le plus attendrissant des spectacles. Son regard posé sur elle, mi-craintif, mi-lubrique, ses yeux embrumés d’envie, la manière dont elle passe sa langue sur ses lèvres par anticipation de ce qui va se passer, tout cela pourrait motiver Patricia à faire n’importe quoi pour elle.
Pour le moment, Noëlla n’a qu’un souhait, exprimé simplement : "Baise-moi."
Alors Pat exauce son souhait. Elle positionne l’extrémité du gode contre les lèvres mouillées de son amante, le cale bien, puis s’enfonce lentement à l’intérieur de l’orifice.
Patricia pénètre Noëlla. Elle insère jusqu’au bout le bélier de plastique, arrachant un "Oui" enthousiaste à celle qui accueille en elle cette ...
... intrusion.
Comme folle, la brune a une envie irrépressible de baiser cette fille. Elle place ses mains sur les hanches nues afin d’y prendre appui. C’est parti. Elle se retire, rentre à nouveau, trouve un rythme et commence à ramoner la chatte de Noëlla. C’est presque trop démentiel pour y croire.
Elle hallucine de voir cette épaisse tige noire et dure, cette extension d’elle-même, s’enfoncer et se retirer de l’intimité de la jolie rousse. L’objet qui entre et sort, qui bouscule les lèvres, écartèle le vagin, ressort tout collant, suscite en elle une fascination proche de l’hypnose. C’est obscène, amoral. C’est beau.
À chaque mouvement, Noëlla pousse un cri de gorge particulièrement excitant, un gémissement femelle et soumis, comme si elle avait réfléchi au son le plus sexy qu’elle était capable de générer et qu’elle avait décidé d’en faire la bande-son de cette baise. Ça monte à la tête.
Émoustillée, Patricia accélère le rythme. Elle donne des coups de reins de plus en plus rapides et de plus en plus puissants, qui font gémir son amante de plus en plus fort, ce qui l’excite encore plus. Un cercle très vicieux.
Patricia met toutes ses frustrations dans ses ruades. La colère née des théories de Faustine ne s’est pas tarie. A chaque mouvement du gode-ceinture, à chaque tressautement du corps de Noëlla, c’est un peu de cette rage qu’elle ventile. Non, elle n’est pas amoureuse de cette fille. Han ! Non, elle n’est pas lesbienne. Han ! Pour elle, elle n’est qu’un corps. ...