1. COLLECTION BELLE-MÈRE. Femme d’un gros banquier (1/2)


    Datte: 26/01/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... matins à 7 heures, il fait 500 mètres, j’arrondis, peut être 501 à 510 mètres.
    
    Il entre dans un café, le premier jour, je le lâche, inutile de me faire repérer.
    
    Le lendemain rebelote, c’est confirmé, 7 heures, 510 mètres maxi et il entre dans le café.
    
    Je le laisse repartir et il entre dans la banque où il travaille, ça je le sais, car en plus de son numéro, l’adresse était marquée sur le bristol qu’il m’a donné lors de l’épisode des verres cassés.
    
    Fiston a le bureau à côté du bureau de papa.
    
    Dans quelques mois, le patriarche partira se reposer dans sa villa de Marbella en Espagne avec vue sur la plage et le rejeton prendra sa place dans le grand bureau avec vue sur Paris.
    
    J’ai eu ces renseignements un jour où ayant rencontré un des simple agent d’entretien en plus d’une petite pipe, il m’a fait visiter l’immeuble bancaire de nuit.
    
    Il était assis dans le bureau de beau-papa dans son fauteuil de PDG et pour le remercier, je lui ai sucé la queue.
    
    C’était un black et j’ai été récompensé de mes efforts par de longs jets de spermes que je me suis empressée d’avaler.
    
    Le sperme, pour moi, c’est comme une orangeade pour d’autres.
    
    Il va sans dire, que visant le petit porcinet, j’avais modifié ma silhouette avec une perruque rousse et une paire de grosses lunettes noires.
    
    J’ai essayé des faux seins, mais les miens étant déjà bien imposant et trop c’était trop.
    
    Lorsque j’aurais pris du poids sur belle-maman, je me méfierais comme la peste des ...
    ... agents de sécurité, ils visionnent les caméras de surveillance et sont au courant de bien des choses.
    
    Gras double, ayant rejoint son poste à 7 heures 15 tapantes, j’entre à mon tour dans le café.
    
    Au bar très près de la caisse, je montre ma poitrine au serveur.
    
    Lui aussi va me servir.
    
    Tous les jours, j’attends le départ de mon mari, c’est vrai, futur mari et je prends mon café sous les yeux lui sortant de la tête de mon serveur préféré qui m’a dit s’appeler Serge.
    
    Pendant trois jours, j’oublie volontairement de venir.
    
    Ce matin, c’est le jour où je ferre mon poisson, bien gras, bien dodu.
    
    • Bonjour la compagnie, Serge, un café.
    
    Ho, pardon.
    
    Tout est prêt, même mon talon cassant au bon moment pour que je m’affale sur la table où Firmin prend son café avec un petit croissant.
    
    • Mademoiselle Sandrine, je me souviens du nom que vous avez donné, quand vous avez eu le courage de rembarrer ma mère.
    
    Nous sommes faits pour nous rencontrer dans des situations toujours insolites.
    
    Là, c’est vous qui me tombée dessus.
    
    Affalée sur la table, mes seins bien en évidence devant ses yeux, j’essaye de reprendre pied, mais mon talon se dérobe de nouveau et je retombe lourdement.
    
    Ce que j’avais oublié dans mon plan, c’est le café qui a valsé sur son pantalon le laissant son croissant en main.
    
    Pantalon, je devrais dire braguette, pile-poil là où son sexe m’intéresse.
    
    Serge arrive, avec une serviette propre.
    
    • Monsieur le marquis excusez la maladresse de ...