1. COLLECTION BELLE-MÈRE. Femme d’un gros banquier (1/2)


    Datte: 26/01/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    J’ai eu la chance de rencontrer le Marquis Firmin de Gras.
    
    Dès sa jeunesse, ses copains l’appelaient Gras double, il était rempli de rondeurs, pour arranger le tableau, il avait un œil qui disait légèrement merde à l’autre, avec de grosses lunettes noires.
    
    Il pensait avoir des potes, c’est un grand mot, il a toujours été un repoussoir pour les garçons de son école.
    
    Je dirais même mieux, la tête de Turc, celui qui se retrouvait rué de coups, ses lunettes régulièrement cassées.
    
    Alors pourquoi moi, une jolie petite blonde, quand je l’ai rencontré de façon fortuite, lors d’une soirée où je faisais un extra ai-je eu l’idée d’attirer son attention ?
    
    J’avais accepté de faire le service pour un traiteur pour une paye ridicule, mais me permettant de couvrir un peu mes besoins les plus urgents.
    
    Je l’ai regardé différemment quand il est venu prendre un verre sur le plateau que je promenais entre les invités de ses parents.
    
    J’avais compris en me déplaçant que ce garçon était l’héritier d’une grosse fortune.
    
    J’ai tout de suite vu que ce garçon de presque trente ans manquait d’affection et que c’était la porte à franchir pour régler définitivement tous mes besoins de luxe.
    
    Une cartomancienne m’avait prédit un mariage heureux me permettant de vivre une vie oisive.
    
    Ayant réussi à repasser près de lui après avoir été chercher un nouveau plateau, je lui ai fait mon plus beau sourire.
    
    Il a paru surpris qu’une jolie femme comme moi fût la serveuse de coupes ...
    ... de champagne le regarde tendrement.
    
    Je lui faisais mes yeux de biche, avec mes longs faux cils, je sais très bien me maquiller afin de me mettre en valeur, même avec mon tablier de soubrette.
    
    J’ai continué mon travail, le temps pressant, l’immense salle à manger de cet hôtel particulier commençait à se clairsemer.
    
    Alors, le repérant, je suis allée rapidement préparer un plateau avec huit couples en cristal derrière son dos.
    
    Je me suis arrangée pour faire toucher le plateau par son bras.
    
    Tout est tombé, plateaux et coupes dans un bruit comme celui d’une glace se brisant en se répandant au sol.
    
    Sans oublier le bruit du plateau en argent, le moment crucial était là, sa mère était près de nous.
    
    • Quelle horreur, regardez le pantalon de mon fils, vous l’avez taché.
    
    • Attendez, madame, je sais comment faire pour arranger cela.
    
    Avec la serviette que j’avais sur mon bras, je me suis agenouillée.
    
    J’aime montrer ce que j’appelle mes avantages avec mes yeux bleus, le premier bouton de mon chemisier étant toujours détaché.
    
    Gras double avait une vue plongeante sur ma vallée pleine de promesse.
    
    Avec la serviette, j’ai commencé à tapoter la tâche du liquide et sans avoir l’air, je me suis rapprochée de ses parties intimes.
    
    Je voulais le surprendre, c’est moi qui l’ai été.
    
    Ce que j’ai touché dépassait tout ce que dans ma jeune vie, j’avais déjà senti ou vu.
    
    Sans être une salope, j’aime la queue, non, j’aime les queues, car je refuse de trop ...
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