1. De la vierge à la salope (3)


    Datte: 26/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... suis plus moi-même, je hurle ma jouissance. Isabelle s’est approchée de nous, elle me murmure à l’oreille.
    
    — C’est bon cette grosse bite, n’est-ce pas ? Tu vas voir quand il va t’enculer, tu vas aimer, et surtout après, ils vont tous te baiser, tu vas passer le meilleur après-midi de ta jeune vie.
    
    Je n’écoutais pas, tout à mon plaisir, je me concentrais sur mes sensations, ma jouissance.
    
    La bite sembla encore grossir, et un jet de foutre m’envahit la chatte, déclenchant un nouvel orgasme.
    
    J’étais là, pantelante, dans la même position, le cul offert. Le gland s’attaqua à mon cul. Le salaud bandait toujours. J’étais tellement excitée que je ne protestais même pas, au contraire, je tendis mon cul pour aller au-devant de cette bite qui m’avait apporté tant de bonheur.
    
    Mon petit cul, encore presque vierge, allait devoir s’adapter à ce calibre. Le gland franchit l’obstacle de mon sphincter, le reste suivit sans problèmes. Cette fois, il put aller jusqu’au bout, je sentis ses couilles battre sur ma chatte. J’étais enculée à fond. Mon baiseur avait déjà éjaculé 2 fois, aussi, cette fois, il prit son temps, sa bite me ramonait les intestins avec ardeur, j’étais au-delà de la jouissance, je gémissais en permanence, je demandais à être défoncée, et ...
    ... c’est ce qu’il faisait. Il appréciait mon cul étroit, et il me le disait avec des mots crus. Puis il finit par jouir, m’emplissant les entrailles de foutre.
    
    Je n’eus pas le temps de bouger, mon baiseur eut juste le temps de se retirer, ce fut la ruée. Les bites envahirent tous mes trous, le sperme giclait de partout, j’en buvais, j’en recevais dans ma chatte, dans mon cul, sur moi. Cela dura longtemps, puis on me laissa. Couchée sur le lit, les cuisses écartées, je sentais mes orifices bâiller, j’étais ouverte, le sperme coulait. Isabelle s’approcha, elle me lécha comme un petit chat, me nettoyant partout, buvant le sperme qui s’écoulait de mes orifices, sur mon corps.
    
    Nous nous sommes habillées. Au moment de partir, le patron me remit un collier.
    
    — Avec ce collier, tu pourras te promener sans problèmes dans ce quartier et revenir nous voir.
    
    Nous sortîmes. J’avais du mal à marcher. Mon cul et ma chatte étaient encore dilatés. Les hommes que nous croisions avaient un petit sourire entendu, ils savaient d’où nous venions, et pourquoi nous y étions.
    
    Mais personne ne fit de réflexion.
    
    Le soir, Norbert m’appela, comme d’habitude, je ne lui racontais pas ma journée, j’avais toujours la chatte et le cul ouverts, mais cela, il ne pouvait pas le voir. 
«1234»