De la vierge à la salope (3)
Datte: 26/01/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: tarbenero, Source: Xstory
Isabelle m’a proposé d’aller danser lundi après-midi. Elle sait que j’adore cela. Elle m’a donné rendez-vous chez elle. Dès mon arrivée, elle me prend dans ses bras et m’embrasse avec passion. C’est devenu un rituel chez nous. Isabelle m’aime et elle me le prouve. Je ne fais rien pour la décourager. Je ne suis pas gouine, mais je ne suis pas insensible à ses caresses.
Isabelle me prépare pour la sortie. Elle me déshabille, c’est vite fait, car comme d’habitude, je n’ai que ma robe, pas de dessous inutiles. Tout d’abord, un lavement, il faut toujours être prête à tout. Elle vérifie l’épilation de ma chatte, quelques poils sont apparus qu’elle s’empresse d’éliminer. Allongée sur le lit, cuisses largement ouvertes, je lui offre mon intimité. Elle sort de son armoire une guêpière qu’elle m’enfile. C’est la première fois que je mets ce genre d’accessoire. Celle-ci se lace dans le dos. Elle dégage largement la chatte et le cul, le laçage très serré m’oblige à me cambrer, fait ressortir mon cul. Les seins ne sont pas couverts, mais présentés comme sur un plateau. Malgré la chaleur, j’enfile des bas que je fixe au porte-jarretelles. Isabelle me maquille, y compris mes tétons.
Isabelle m’emmène devant le miroir. L’effet est saisissant. Elle a accentué l’épaisseur de mes lèvres, mes yeux sont soulignés de khôl, mes tétons bandent, fardés de rouge, la guêpière accentue la finesse de ma taille et met mes seins en valeur. Isabelle complète ma tenue par un plug anal de bonne taille. ...
... Pour me préparer me dit-elle.
J’enfile une robe très courte et boutonnée devant. Isabelle boutonne ma robe en laissant deux boutons détachés en haut et en bas, à chaque pas on peut voir la lisière de mes bas, quant au haut, mes seins sont presque visibles. Il ne faudrait pas que je me penche.
Nous voilà parties. Je croyais y aller en voiture, mais Isabelle avait décidé de prendre le métro. J’avais un peu honte de ma tenue, une vraie pute. Les hommes me regardaient avec du désir dans les yeux, les femmes avec de la réprobation... à part une ou deux. Comme à chaque fois que nous étions en public, Isabelle montrait que je lui appartenais. Elle me serrait contre elle, m’embrassant, sa main posée sur mes fesses. Parfois, pour provoquer, elle me plaquait contre un homme, celui-ci ne savait que faire, mais quand je saisissais sa bite à travers son pantalon, il comprenait, sa main filait sous ma robe, il constatait alors avec surprise que j’étais cul nu.
Nous sommes descendues dans un quartier que je ne connaissais pas. Des graffitis partout, les rues étaient sales. Des groupes d’hommes, black ou Maghrébins stationnaient devant des bars sordides. J’avais un peu peur, Isabelle semblait à son aise. Sur notre passage, les hommes lançaient des réflexions dans leur langue, on ne comprenait pas, mais leurs gestes équivoques (ils se touchaient la bite à travers le pantalon), n’avaient pas besoin de traduction.
Je commençais à me demander où Isabelle m’entraînait. Je lui posais ...