Karine et le plaisir de la soumission 4
Datte: 26/01/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Dan48, Source: Hds
... feuillage des bosquets. Hugo sort mes vêtements du sac. Mais avant que j’ai eu le temps de réagir, il se met à genou devant moi, me tend la main. Je m’approche. Il me dit alors « je t’aime tu sais. Ce n’est pas parce que tu es ma soumise que je t’aimerai moins ». Je le regarde avec une tendresse infinie. Je m’approche de lui et serre sa tête contre mon ventre nu: le dernier câlin d’une petite fille amoureuse. Quand je le lâche au bout de quelques instants il met ses mains sur mes cuisses, les écartes et il pose sa bouche sur ma fente et commence à me lécher. Je sens le plaisir monter rapidement. Je comprends qu’il veut me faire jouir bruyamment à proximité de ma famille. Que je gémisse de plaisir au risque qu’ils m’entendent jouir. J’ai honte de ce que je suis en train de faire, de sentir mon plaisir monter. J’entends un bruit, je tourne la tête et regarde vers ma maison, je vois mon père et ma mère qui sortent les poubelles. Et moi je suis à moins de 20 mètres d’eux, nue, les cuisses écartées, le vagin béant, mon bouton prêt à exploser de plaisir, un homme, mon Hugo, me broute la chatte pour me mettre le feu. Tout se précipite, des gens passent sur le sentier derrière, à moins de 3 mètres de moi sans me voir, je suis masquée par un bosquet. Si je fais le moindre bruit, le moindre gémissement de plaisir, ces inconnus vont me voir, parler de ma nudité en public, et mes parents entendront et me verront à leur tour. Je jouis. Je plante mes ongles dans la paume de mes mains, ...
... j’écrase mes mains contre ma bouche, et en silence, mes jambes flageolent sous le plaisir, je m’allonge sur le dos pour continuer à jouir et je soulève mon bassin pour continuer à offrir ma fente à Maitre HUGO. Je suis sa soumise et j’aime ça. Il me lèche, aspire mon bouton. Soudain il me mort le bouton. Je frémis, les mains sur la bouche, mes jambes se détendent sous la douleur violente, je viens de glisser sur le sol. Je suis totalement visible de la maison allongée nue sur le trottoir. Je relève le bassin pour offrir ma fente à mon maître sans chercher à me cacher. Je cherche des yeux mes parents. Ils ne sont plus qu’à une quinzaine de mètres de moi. Ils me tournent heureusement le dos, main dans la main, après avoir déposé les ordures dans le conteneur à poubelles. Il leur suffit de tourner la tête, un simple quart de tour, et ils verront leur fille, les seins à l’air, les cuisses relevées, couchée nue dans leur rue : impudique, indécente. Ils rentrent sans détourner le regard, J’entends une voiture, elle passe sans ralentir. 3 autres voitures auront le temps de passer à côté de moi avant que mon maître ait fini de me faire jouir. Je reste sans bouger pour récupérer, le fils de mes voisins joue au basket devant leur garage, il ne voit pas la salope soumise exposée sur le trottoir. Je rejoins enfin le buisson, une voiture qui passe me voit à 4 pattes, les seins pendants, nue, disparaitre dans la foret. Il klaxonne rageusement, frustré.
Hugo m’a enfin permis de remettre mes ...