Karine et le plaisir de la soumission 4
Datte: 26/01/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Dan48, Source: Hds
... nue. Presque une heure, d’exhibition forcée sans possibilité de fuite.
Quarante minutes avec la peur au ventre d’être vue. 2 fois je me suis mise dans les bras d’Hugo et j’ai montré mes fesses à des inconnus que je n’ai pas osés regarder. La 3ème fois, il m’a demandé de mettre mon visage dans mes mains mais de ne pas me retourner. Il voulait que l’homme regarde mes seins et mon minou. J’ai essayée de lui dire que c’était dangereux, mais sa réponse a été claire, je suis sa soumise je dois obéir. En plus, il a ajouté que je devais demander à l’inconnu de me toucher. Je vais devoir lui parler. Je pose mes lèvres sur sa bouche en signe de soumission, je mets mes mains sur mon visage avec les doigts écartés pour ne pas tomber et je marche droit sur l’homme. Il est maintenant à 20 mètres, il me voit nue devant lui. Je me suis arrêtée quand Hugo me l’a dit, et quand l’homme a été juste devant moi, mes parties intimes exposées, je dis « Bonjour Monsieur, voulez-vous me toucher les seins et la chatte ? je suis d’accord et mon maitre en serait heureux » Souriant, il me demande quel est le piège, et moi de répondre, « pas de piège Monsieur, je viens d’accepter d’être la soumise de mon maître, et il veut vérifier ma soumission » L’homme me caresse les seins et pince fort mes tétons. Il sourit en me voyant grimacer, puis sa main descend vers mon abricot et il pince violement mon bouton. Surprise, sous la douleur je mets mes mains sur les siennes, lui dévoilant mon visage, je dis « ...
... pitié Monsieur, vous me faites très mal ». Sa réponse me trouble : « une soumise n’a rien à demander elle est là pour subir ». En bonne soumise, j’ai alors écarté les cuisses, avancé légèrement mon bassin, reculées un peu mes mains, de peur de la douleur je les ai laissés à quelques centimètres de siennes, je l’ai regardé dans les yeux et j’ai attendu. Il me tord mon bouton et me le pince pendant une longue minute qui m’a paru être une éternité. J’ai posé délicatement mes mains sur les siennes le temps de la torture. Quelques larmes coulaient sur mes joues, mes jambes tremblaient, je le regardais droit dans les yeux, les joues maintenant inondées de pleurs, mais je n’ai ni crié, ni bougé. Avant qu’il ne lâche mon bouton, un orgasme a provoqué des spasmes dans tout mon corps. Je suis tombée à genoux à ses pieds. J’ai écarté les jambes au maximum pour lui présenter mon intimité. Il m’a regardé jouir en souriant. « Votre maitre a beaucoup de chance d’avoir une soumise comme vous, Mademoiselle, belle, jeune, maso, exhibitionniste. Un cocktail rare, parfait. Vous avez quel âge ? » « 18 ans Monsieur » « Vous êtes bien jeune pour la soumission, vous devriez attendre encore 2 ou 3 ans. Je pourrai vous prendre à mon service pour vous éduquer. Je pense qu’on va se revoir bientôt, la ville n’est pas très grande » et il est parti sans un regard. Je me lève, une main sur mon ventre. J’ai mal à mon clitoris. Nous repartons.
On est arrivé à proximité de ma rue. Je vois ma maison à travers le ...