Confessions d'une esclave sexuelle (5)
Datte: 10/08/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Bison noir, Source: Xstory
... m’agrippait fermement les fesses et me pénétra de manière brutale. J’ai rêvé lorsque j’espérais un rapport plus en douceur. Les clés m’avaient fait vraiment très mal à la chatte et ses coups de bites n’arrangeaient rien. Ils étaient d’ailleurs de plus en plus violents.
Puis, il se mettait à cracher une fois, deux fois, trois fois sur mon anus. Non... Il n’allait quand même pas me faire ça ce soir, moi qui n’ai jamais été sodomisée... Je ne pensais pas qu’il me le ferait dès le premier soir... A peine ai-je pu finir cette pensée qu’il mit un doigt dans mon trou du cul. Très rapidement, un deuxième plongea au fond de mon cul. J’étais extrêmement serrée et il ne se privait pas de me le dire. Les deux doigts me brûlaient énormément l’anus, mais ce n’était rien par rapport à ce qui allait venir. Brusquement, il retira sa bite de ma chatte et me l’enfonça sans aucun ménagement dans mon cul. Son rythme était le même dans mon cul que dans ma chatte. Je gémissais de douleur, je pleurais même, mais plus ça allait et plus je prenais du plaisir à me faire défoncer ainsi. Mon trou du cul se dilatait et la bite passait mieux. Ça y est, là je suis vraiment sa pute !! Jamais nous n’avions fait ça auparavant. Ce n’est plus un bout de papier que j’ai signé, là c’est du concret et cette pensée me fit ...
... jouir.
J’oubliais la douleur des brûlures sur la peau de mes fesses, j’oubliais la douleur de mon anus, j’oubliais la douleur que les clés ont faite à l’intérieur de mon vagin... J’étais dans une autre planète, celle de l’orgasme dans la perversité. Il m’obligeait à lécher ses doigts qui avaient trifouillé mon trou du cul. Je sentais la propre odeur de ma merde et même si je refusais la scatophile, cette petite odeur m’excitait... Après 15 bonnes minutes où mon cul a été totalement laminé, mon Maître se retira et éjacula sur mon visage. Waouh, quelle partie de sexe énorme !!! Instinctivement, je remerciais mon Maître. Il était ravi ! Puis il se leva et alla chercher un duvet dans l’armoire de sa chambre.
“ Les chiennes n’ont pas le droit de monter sur mon lit, car elles sont sales. Là, je t’ai acceptée, car tu sortais de la douche. Je t’autoriserai, peut-être, à revenir d’autres fois dans mon lit, mais ce sera uniquement pour te baiser. Ton lit, c’est au pied du mien, comme une chienne. Installe le duvet. Ah oui, et interdiction de t’essuyer le visage. Tu gardes le sperme sur ta gueule toute la nuit.”
C’est ainsi que se termina ma première soirée en tant qu’esclave. Je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi intense dès le premier soir. Je me disais que cela promettait pour la suite ! Et je n’ai pas été déçue...