1. Confessions d'une esclave sexuelle (5)


    Datte: 10/08/2018, Catégories: Trash, Auteur: Bison noir, Source: Xstory

    ... jambes !”
    
    Non... Il n’allait pas me faire ça... Je n’osais rien lui dire, mais mon regard apeuré lui implorait la clémence. Il me souriait et m’enfonçait sans ménagement les deux clés dans la chatte. Je poussais un vrai cri de douleur !
    
    “ - Tu les gardes ainsi pour ce soir, les autres jours, tu auras le droit de les poser sur le meuble de l’entrée. Par contre, attention : tu n’as pas intérêt de les faire tomber ce soir sinon je serai obligé de m’énerver... C’est clair ??
    
    — Oui Maître... répondais-je en sanglot
    
    — Très bien. Maintenant, tu vas te mettre à genoux puisque les chiennes ne se baladent pas debout, mais à 4 pattes. Et toi, tu peux me rappeler ce que tu es ???
    
    — Une chienne... Je suis une chienne Maître, lui dis-je en me mettant à 4 pattes directement.
    
    — Tu sembles comprendre assez rapidement finalement, tu n’es peut-être pas aussi bête que ce que j’avais imaginé. Je vais te faire faire un peu le tour de l’appart. En réalité, tu n’as connu que le salon et la chambre du sexe. Je vais te montrer ce qui sera tes principaux centres d’intérêt : les produits ménagers et la cuisine.”
    
    A 4 pattes, je faisais le tour du propriétaire. J’étais vraiment réduit à l’état de chienne, d’esclave. Après tout, c’est ce que j’avais cherché. Une fois le tour terminé, il me ramenait dans le couloir. Il avait récupéré le contrat.
    
    “ - Je veux m’assurer que tu aies bien retenu la leçon que je t’ai donnée tout à l’heure. Comme je n’en suis pas sûr à 100 %, la punition ...
    ... va continuer, dit-il en ouvrant les portes coulissantes de son placard. Tu vas attendre ici bien sagement jusqu’à ce que je vienne te chercher. Je te laisse le contrat pour le relire attentivement...”
    
    Il me faisait rentrer dans le placard en me mettant un coup de pied au cul pour me faire aller plus vite puis refermait les portes. Une fois les portes fermées, le placard était minuscule et il y faisait très sombre, c’était impossible de lire le contrat, mais je m’efforçais tout de même à le faire puisque c’était l’ordre que mon Maître m’avait donné... Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi dans le placard, je dirai au moins 3 heures... Cela m’a semblé être une éternité. Lorsque la porte s’ouvrit, mon Maître prit ma laisse et me dit simplement : “J’ai faim, va faire à bouffer. ».
    
    A 4 pattes, il m’emmenait dans la cuisine (qui était ouverte sur le salon) et je me mettais au fourneau. Je lui avais préparé des pâtes. Une fois son assiette prête, il me ramenait dans le placard m’expliquant que j’étais privée de nourriture pour ce soir. Ces longs moments, seule dans le noir, me permettaient de réfléchir à ma situation. Comment ai-je pu me fourrer dans cette affaire, surtout en étant pleinement consciente et consentante ? Pourquoi, malgré la douleur (j’avais du mal à rester assise sur mes fesses...) et l’humiliation qui m’étaient infligées je ressentais un certain bonheur et une satisfaction à être ainsi ?
    
    Après encore de longues heures enfermée dans ce placard, ...
«1...3456»