1. Le projet artistique (70)


    Datte: 23/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... d’accords. Apparemment, rencontrer Bertrand et François les intéressaient beaucoup. D’autre part, ils savaient ce qu’ils avaient fait pour le couple. Et, surtout, ils savaient ce à quoi ils pouvaient s’adonner entre hommes. Sans en avoir la preuve, les jeunes auraient pu laisser le bruit courir et ruiner la réputation des deux hommes.
    
    Ils ne le dirent pas clairement mais on sentit l’arme de dissuasion derrière leurs mots. Je fus un peu peinée pour Bertrand et François mais Paul les rassura longuement. Les jeunes n’iraient jamais leur nuire tant qu’eux ne le feraient pas. Et puis, la plupart partirait dans d’autres villes ou à l’étranger, donc l’épée de Damoclès ne serait pas longtemps au-dessus de leurs têtes. Je les serrai bien fort contre moi, je les embrassai amoureusement et ils cédèrent.
    
    Il fallut nous serrer à cinq dans la voiture de Paul pour les ramener à celle de Bertrand. Je restai dans celle de Paul afin de leur laisser le choix de nous suivre chez Amandine ou non. Je voulais avoir avec eux un dernier rapport mais je ne voulais pas les forcer. Au fond de moi, je stressais follement. Je n’osai regarder derrière moi jusqu’à ce que nous arrivions. Quand Paul se gara dans la rue, je vis passer la voiture de Bertrand sans savoir si François y était encore. La voiture se gara un peu plus loin et, miraculeusement, les deux hommes en sortirent. Je courus vers eux et me jetai dans leurs bras. Je les tirai avec moi et nous nous dirigeâmes vers la maison devant ...
    ... laquelle Paul et Elisa nous attendaient.
    
    Une fois dans la maison, je sentis une atmosphère déjà licencieuse. Le très grand salon avait été aménagé de sorte de laisser un large espace en son centre. Quelques présentations officielles furent faites entre les jeunes et mes deux amants. Ceux-ci furent agréablement surpris de l’accueil qui leur fut réservé. Ils se détendirent mais moi je restai inquiète; je me collai contre eux plus pour les protéger que pour me rassurer. C’était mes deux hommes, mes deux amants, mes deux amours, presque. C’était fou comme je les aimais à ce moment-là.
    
    Après quelques minutes, Amandine nous rappela que si elle disposait de la maison de ses parents, ce n’était pas illimité. Amandine, Marie et Sylvie se portèrent volontaires pour commencer. Maxime et Paul, Germain et Olivier, Esteban et Felipe se préparèrent pour aller s’occuper des jeunes femmes. Ils se mirent nus et commencèrent à déshabiller et caresser les filles. Mais ils nous demandèrent de faire comme eux, ne se sentant pas de faire le show devant un public habillé, ce que nous fîmes tous. Les jeunes femmes caressées ricanèrent et gloussèrent avant de gémir doucement. Je me rendis compte, qu’au bout de trois ans, ils n’avaient plus vraiment besoin d’Elisa ou de quelqu’un d’autre. Même les Allemands avaient si vite progressé que plus rien n’était à leur apprendre.
    
    D’un côté de la pièce, Elisa avait placé son caméscope et filmait la scène à sa façon si professionnelle. Les filles sucèrent un ...
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