1. Le projet artistique (70)


    Datte: 23/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Yojik, Source: Xstory

    ... de lentes masturbations. Les bites qui avaient perdu en fermeté reprirent doucement de leur superbe. J’eu bientôt deux pieux raides et durs entre les mains. Je m’agenouillai et vins les lécher tour à tour. Mes Français se mirent à râler et à gémir tout de suite. Mais je ne les sentis pas tout à fait libérés. Ce ne fut le cas que lorsque je les pris réellement en bouche, les enfonçant profondément dans ma gorge.
    
    Elisa avait repris la caméra et je ne pus m’empêcher de me placer de façon à ce qu’elle ait un bon angle de vue. Je me focalisai sur mes bites et les pompai ardemment. Je les gobai toutes les deux faisant couiner de plaisir mes deux hommes. Je crus distinguer quelques regards envieux de garçons et filles qui me voyaient faire avec aisance. François et Bertrand apprécièrent cette fellation en mode colocataire et ils se mirent à donner de légers coups de reins pour m’accompagner. Ils étaient maintenant bien dans l’ambiance et je pus alors passer à la suite.
    
    — A vous mes amours, osai-je les appeler ainsi.
    
    Bertrand fut surpris et François me sourit. Je les regardai et ils s’enduisirent les sexes d’une belle dose de gel. J’étais plus que trempée mais pour ce que je voulais faire, ils avaient intérêt à être parfaitement lubrifier tous les deux. François fut prêt le premier et je l’allongeai au sol. Je rampai sur son ventre pour venir l’embrasser longuement. Ses mains se posèrent sur mes fesses pour m’aider à me placer sur sa queue.
    
    D’un mouvement de hanche je ...
    ... me retrouvai avec son gland à l’entrée du vagin. D’un autre mouvement, il me pourfendit et me fit gémir de plaisir. François s’enfonça très facilement en moi et ne s’arrêta que l’lorsqu’il toucha le col de mon utérus. Nous fîmes quelques allers-retours histoire de bien huiler et lubrifier mon antre. Puis je me tournai vers Bertrand qui attendait patiemment mais avec une certaine appréhension.
    
    — Viens..., lui dis-je dans un souffle.
    
    — Tu es sûre ?
    
    — Oui...
    
    Alors il se mit à genou derrière moi et avança son sexe vers moi. Du coin de l’œil je vis quelques regards entendus chez ces jeunes adultes. Mais quand Bertrand colla son gland le long de la queue de François leurs visages se figèrent d’incrédulité. Ils venaient de comprendre ; comprendre qu’ils allaient tous les deux me prendre par le vagin. J’allais bientôt avoir leurs deux sexes dans ma grotte. Je relevai mon cul pour que l’angle libère un peu d’espace à Bertrand sans pour autant sortir François de là. Je ne l’avais jamais pratiqué ; je ne l’avais vu faire que deux fois sur des tournages. C’était d’ailleurs une des raisons de mon arrêt. Tout cela devenait trop. Trop extrême, trop hard avec des filles et des garçons qui ressemblaient de plus en plus à des bêtes de concours agricoles.
    
    Le gland de Bertrand se présenta contre mes lèvres et il poussa fermement mais délicatement. Mes chairs semblèrent se déchirer à mesure qu’il força le passage. Sous moi, François soupira, le sexe compressé et écrasé par celui de ...