1. Heloïse (1)


    Datte: 21/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: desanges, Source: Xstory

    ... bien vite l’étrange beauté pour me divertir d’une jolie et jeune naïade ramenée de la plage. Que ce fut bon de retrouver un corps facile, des petits seins rebondis sous un bikini sans goût, des lèvres gloutonnes à tous les étages et des gémissements outranciers. Ma petite plagiste, je la baisais - c’est bien le mot qui convient - dans toutes les positions, à lui désaxer les hanches.
    
    Et c’est après un de ces ébats peu glorieux, la jeune blonde à la peau dorée et au duvet fin à peine partie, qu’entra sans prévenir dans ma chambre Héloïse. Les draps étaient au sol, un préservatif usagé traînait à côté de mon corps étendu, le sexe tombant, ma belle tatouée me regarda presque tendrement. Et sans dire un mot, elle se pencha vers mon sexe rincé, luisant d’un mélange de lubrifiant et de sperme. Héloïse prit entre ses doigts ce bout de chair molle dont on est quand même bien plus fier quand il se présente gonflé de désir, et le recalotta délicatement entre son pouce et son index.
    
    — Je crois qu’il reste une goutte.
    
    Me dit-elle avant de se pencher et de faire perler le gland d’une petite bille blanche qu’elle s’empressa d’avaler.
    
    — La prochaine fois, ne mets pas de capote, je veux retrouver le goût de sa chatte sur ta queue.. .
    
    Puis soudain, elle prit mon membre moribond dans sa bouche, tout entier, jusqu’à ce que je sente la pointe de son nez long et fin venir appuyer sur mon bas-ventre. Ce fut comme une décharge électrique qui ramène à la vie. ...
    ... Mon sexe se dressa rapidement, comme réanimé par le mouvement parfait de sa langue sur ma tige, stimulant chaque veine, flattant le gland comme personne ne l’avait jamais fait auparavant.
    
    Je la regardais, je la dévorais des yeux, mais non pas comme étant là bien réelle, en chair et en os, mais comme une apparition, un songe. Tout m’apparaissait flou. Et ce fut une sensation merveilleusement brûlante quand elle vint s’empaler sur mon sexe, me chevauchant comme la plus divine et fougueuse des amazones. Je n’avais qu’à promener mes yeux sur toutes les encres qui couvraient sa peau claire, tendre les mains pour effleurer ses seins altiers, tandis qu’imperturbable, délicatement gémissante, elle allait et venait sur moi jusqu’à me faire jouir aux tréfonds de son sexe, après s’être abattue sur moi, écrasant mon torse de ses mains aux doigts bagués.
    
    Héloïse se releva, se dégagea avec l’aisance d’une cavalière expérimentée. Elle me regardait du haut de toute sa splendeur. Après avoir porté un doigt à sa fente qui commençait à rendre un peu de ce que je lui avais donné, elle me rappela la consigne de conserver sur ma queue le parfum de ma naïade, parfum dont j’avais parfaitement compris qu’elle entendait se délecter. Héloïse porta alors un doigt à sa bouche comme pour m’intimer de faire silence, ce doigt maculé de mon foutre qu’elle s’empressa de lécher. Puis elle repartit comme elle était venue.
    
    Cet été-là fut l’un des étés les plus torrides de ma vie. 
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