1. Maria ne dit jamais non


    Datte: 21/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... totale impuissance, nous lui tirâmes les oreilles, allant jusqu’à lui donner des gifles en l’insultant.
    
    Elle n’était plus qu’un objet abandonné à notre merci. En lui pelotâmes le nichon. Lui tordant les bouts pour l’exciter. Elle était incapable de dissimuler que cela n‘était pas pour lui déplaire. Manu se mit à genoux devant le visage de sa cousine.
    
    - Tu vas me lécher la queue, comme tu la fais dans ma chambre.
    
    -Mais on pourrait nous voir ? Répliqua-t-elle.
    
    -Et alors qu’est-ce que cela peut faire. Lança-t-il en promenant sa verge sur la surface de la langue de sa cousine.
    
    Il l’obligea à dessiner un rond avec ses lèvres. Comme un anus entrouvert, dont il y enfonça sa queue.
    
    - Putain cousine, comme c‘est bon !
    
    Je vis sa pine coulisser dans la bouche de sa cousine. Une bouche qui n’était plus qu’un trou dans lequel on se soulage.
    
    - Serre les lèvres. Creuse les joues. Je sens que tu te relâche !
    
    Je m'étais pour ma part positionner pour pouvoir lui administrer de petites claques sur différents points de son postérieur pour en faire un peu rougir la peau. La bouche pleine, elle n'avait protesté que faiblement, mais s'était brusquement arrêtée. Le traitement, à l'évidence, ne lui déplaisait pas.
    
    Je libérais ses mains, sachant très bien qu’elle ne tenterait rien. Je lui pris le poignet et la guidais. Tout en faisant aller et venir sa main sur ma queue, elle guettait mes réactions à travers ses cils. De la main droite sur son poignet, je lui imposais ...
    ... un mouvement régulier et bien lié qui faisait balancer ses couilles.
    
    - Putain, oui, continue, souple… souple et un peu plus vite, je t’en prie. La suppliais-je.
    
    Je me pâmais sous ses caresses. Elle qui accéléra ses mouvements, faisant durcir davantage ma queue sous ses doigts crispés, alors que mes couilles sautaient contre sa paume.
    
    - C’est ça, tu commences à prendre la main… c’est bien, tu sais y faire.
    
    Je lui dénudais la chatte. Par un réflexe de pudeur, mais sans cesser pour autant de me masturber elle serra les cuisses. En vain sa touffe fournie poissée de sueur et de mouille laissait voir ses chairs intimes. Entre ses grandes lèvres rebondies, ses nymphes d’une rose intense, aux bords très découpés, dépassaient largement.
    
    - Tu sais qu’elle me plaît ta chatte, Maria. Montre moi la mieux que ça !
    
    Elle se laissa faire et ouvrit ses cuisses agitées de tremblements nerveux. Je passais mes mains à la saignée des genoux, et soulevais ses cuisses écartées. Ce qui s’étala devant mes yeux était divin.
    
    - Ah, j’ai envie de la lécher. Délirais-je. Tu as le trou du cul comme pour chier.
    
    J’ai approché ma main de ses fesses. Je lui caressais l’nus de doigt. Puis, après y avoir étalé la mouille qui débordait du vagin, je fis pénétrer mon majeur, en l’gitant très vite, d’avant en arrière. J’ai plaqué mon visage sur ses seins et me mis à la téter. À la mordiller en grognant sans cesser de la masturber. Elle haleta :
    
    - Cochon, c’est bon…
    
    Elle fit des sauts de ...