1. Maria ne dit jamais non


    Datte: 21/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    C’était un plaisir pour moi tous les matins de me réveiller et de savoir que j’allais passer une bonne journée jouissif en compagnie de Maria et Manu.
    
    Arrivée sur le sable, avec mon pote nous la fîmes mettre nue. Nous savions qu’elle était très excité de se montrer à poil devant nos yeux. Alors que nous restions habillés. Maria se mettait sans se faire prier dans son plus simple élément.
    
    - Maintenant tu vas nous sucer. Osa lancer Manu.
    
    Elle s’efforça de prendre une moue contrariée, avant de s’allonger sur sa serviette, puis se ravisa.
    
    - Qu’est-ce que tu fous ? C’est bien toi qui m’a dit hier soir que tu aimerais bien sucer la queue de Alain ?
    
    - Oui, mais c’était hier, à l’abris des murs de ta chambre.
    
    - Là-même où tu m’as fait jouir avec ta bouche.
    
    - Oui, si cela t’enchante de le dire.
    
    - Et comment que cela m’enchante ! J’ai passé un bon moment inoubliable ma cousine.
    
    Sans faire trop attention à ce que son cousin débitait, Maria regardait autour d’elle. Un pli marquait son front. Constatant son embarras je vins à son secours, en lui demandant ce qu’elle avait, coupant court au récit du cousin :
    
    - Je suis prise d’une grosse envie de faire pipi.
    
    Manu haussa les épaules, avant de lâcher :
    
    - T’as qu’à faire ici. Dans le sable.
    
    - Non… je reviens de suite. Cria Maria.
    
    Sans tarder, elle courut à toutes jambes vers un arbre tout proche où nous nous trouvions. Nous la vîmes s’accroupir derrière celui-ci. À son retour après s’être soulagée, ...
    ... elle s’agenouilla pour s’emparer de nos sexe. Un dans chaque main.
    
    Je sentis très vite mon plaisir monter. C’était mille fois mieux de se faire masturber par une fille que de le faire soi-même. Maria savait branler, la coquine. Je me disais que Manu avait beaucoup de chance de la posséder. Je souhaitais avoir la même chance que lui, lors de mon séjour chez tante Christiane. Une cousine aussi attentive à mon plaisir. Surtout que ce séjour approchait à grands pas, et cela pour mon plus grand désarroi. J’aurais donné beaucoup pour ne pas m’y rentre, à ce séjour, mais cela dépendait pas de moi.
    
    Donc, en expérimentée, Maria s’arrêta toujours à temps pour ne pas que je jouisse, et étranglait le bout rouge refoulant par cette action la montée du sperme.
    
    - Cousine… t’es une sacrée cochonne. Fit Manu d’une voix entrecoupée.
    
    Mais là, toujours en pareil cas, une drôle d’idée vint germer dans mon cerveau. Je m’empressais à la soumettre à Manu. Qui la trouva à son goût.
    
    -Qu’est-ce que vous comploter tous les deux, fit Maria en nous entendons marmonner.
    
    -Tu veux le savoir, répliqua Manu.
    
    - J’aimerai bien ? Oui, lança-t-elle.
    
    - D’accord mais d’abords laisse toi faire.
    
    Et ce fut avec les moyens du bords qu’elle se retrouva attacher. Les mains entre les cuisses. Un bras passait derrière, l’autre devant. Comme je l’avais vu dans un des livres à mon frère. Ses doigts se joignaient sur sa chatte. Elle mouillait la salope, comme d‘habitude. Pour bien lui faire sentir sa ...
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