1. J'allume le boucher et son fils (1)


    Datte: 20/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Galaxie55, Source: Xstory

    ... laper ses couilles qui se sont rapprochées.
    
    — Ta petite bouche n’est pas assez grande on dirait, à plat ventre sur la table. Je vais te prendre comme une chienne !
    
    Il a une telle détermination dans son ton, que je m’exécute, n’ayant pas le courage ni l’envie de protester... Il approche son bâton pour me battre les fesses, il les claque l’une après l’autre. J’écarte de mes mains, ma partie charnue toute brillante de cyprine, lui offrant mon intimité. Puis il frappe trois bons coups sur mon bouton réceptif. Je me tortille appelant son outil à visiter mon vagin impatient.
    
    Son gland se positionne à l’entrée et fait quelques tours de mon antre béant. Il rentre le gland puis ressort aussitôt, frustrant mon triangle, qui s’agite recherchant cet objet qui le comble. Il remonte vigoureusement son dard inquisiteur à l’entrée de mon anneau et d’une poussée m’enfile le chapeau. Je me sens déchirée, personne ne m’a jamais enculée. Il pousse encore et l’enfile à moitié, avant d’imposer un rythme soutenu. Mon cul tout serré se dilate et un plaisir inconnu déferle dans mon corps. À mesure que sa trompe visite mes tréfonds, mon plaisir augmente.
    
    Il martèle mon petit trou frénétiquement m’arrachant des cris mélangeant plaisir et douleur. Ces bourses finissent par claquer sur ma vulve boursouflée, ce qui m’amène aux portes de l’orgasme. Je sens sa verge se contracter, m’élargissant encore le médaillon... Il s’empresse de se retirer, fait le tour de la table et m’enfonce son ...
    ... pieu dans la bouche, ses sacs se fracassant sur mon menton. Sa semence coule, par grosse saccade, directement dans le fond de ma gorge assoiffée.
    
    — Tu vois, quand tu veux. Nettoie-moi ça ! Sollicite-t-il, en me désignant son sexe dégoulinant. Après tu as intérêt à mettre le turbo.
    
    Il s’en va et me laisse toute excitée dans la cuisine, ma rosette éclatée. L’effluve amer de ce sperme en bouche, je me résigne et fais la basse besogne. Une chose est claire ce n’est pas lui la personne proche qui m’aime depuis toujours. La journée passe plutôt vite, contre toute attente. Mon patron passe sa journée dans son bureau, je ne l’ai même pas croisé. Je me retrouve donc seule à nouveau chez moi, avec deux saucisses me rappelant cette folle journée.
    
    Enfin le week-end, je suis éreintée de ce lundi si spécial. Deux questions me laissent perplexe, qui est cette femme dont le corps fait chavirer le cœur d’un aussi beau mâle ? Et que faire de ces saucisses achetées fortuitement ? J’ai prévu à dépit, de faire mes ’’fameuses’’ saucisses et son écrasé de pommes de terre demain midi. Saupoudré d’une pointe de nostalgie en plus. Ô souvenirs mémorables ! imbibée d’émotions des débauches de cette folle journée, se bousculant dans ma tête...
    
    Tout en me dirigeant vers le salon, la tête dans les nuages, je m’affale sur le canapé les jambes usées de cette journée. Je ferme les yeux, mais ne vois que l’image de mon apprenti, le sexe à l’air, saturé de sang. Je ressens des picotements dans le ...
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