1. J'allume le boucher et son fils (1)


    Datte: 20/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Galaxie55, Source: Xstory

    ... paquet en place.
    
    — Vous avez raison et tant qu’à faire, autant le faire correctement.
    
    Entraînée par l’excitation naissante de mes deux mâles, je rétorque cette petite phrase, tout en laissant échapper le bouton de trop de son entrave, pour les laisser entrevoir ma généreuse poitrine.
    
    — Alors, qui est dans ton cœur bel adolescent ténébreux ? L’interrogeai-je en me mordillant la lèvre.
    
    Je me penche sur la vitre. Le début du soutien-gorge en dentelle blanc commence à dépasser dangereusement. J’aime la lingerie fine, ça m’aide à me sentir femme, dans cette apparence carrée et dénuée de sensualité. Une aubaine dans une telle circonstance.
    
    — Qui hante tes nuits mon beau brun ? Requiers-je, en passant ma main dans mon nouveau décolleté plongeant.
    
    Mon dernier mouvement a dévoilé un téton congestionné par la fraîcheur des lieux.
    
    Je me sens désirée comme jamais à côté de deux étalons prêts à se ruer sur moi. Mes yeux se rivent sur le fils et le dénudent du regard. Sur son visage je lis l’inquiétude, il n’a pas l’air de savoir à quelle sauce je vais le manger. Son regard, enfoui dans le mien, trahit un profond désir. Le père quant à lui ne dit plus rien. La bouche ouverte, les yeux qui lèchent la vitrine, offrant le spectacle pour son entrejambe désormais bien raide, qu’il astique à travers son pantalon.
    
    Je n’ai qu’à dire un mot et je sais, cet homme enragé me baisera sans vergogne. Cette idée me fait frémir. Il faut que je me ressaisisse. Je n’ai pas le temps ...
    ... de penser à ces choses-là, il faut que je livre le chef sinon il ne va encore pas être content. Seulement je ne peux me résoudre à les laisser sans un dernier tour de manège. Je fais glisser ma culotte le long de mes jambes, tout doucement, tout en suçant mon majeur droit. Je ne réalise même pas que m’exhiber à la vue de ces deux mâles, avides de me posséder pleinement, m’embrase littéralement le bas-ventre. Je descends en ouvrant les jambes, laissant ma fine pelouse dégoulinante à la vision lubrique de ces bêtes.
    
    Mon antre tout trempé me fait frissonner, à la fraîcheur du courant d’air, produit par mon mouvement. Ramassant ma culotte trempée de cyprine, je laisse ma deuxième main courir sur ma cuisse. Je ferme un instant les paupières, comme pour savourer plus intensément cette caresse. Mes phalanges dérapent et viennent heurter mon bourgeon empli de sang. Un spasme me parcourt et me fait vaciller. Ma main quitte sa position à regret, laissant mon intimité frustrée de n’avoir eu plus. Je m’avance et m’assois sur le comptoir pour me glisser derrière la caisse. Je me rapproche de cette statue grecque, et frotte mon petit cul sur son gourdin tendu.
    
    — Tu es un cachottier, petit polisson ! Son nom ! Avant que je te fasse cracher autre chose...
    
    — Jamais personne ne saura ! Confirme-t-il, empli d’un scepticisme apparent.
    
    Je me retourne. Ses poings serrés font jaillir ses muscles. Sa mâchoire crispée rend son visage encore plus carré. Il faut m’y résoudre je serai en ...
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