1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1535)


    Datte: 20/01/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... d’asseoir sans complexe, tout à fait naturellement, Son contrôle, Son autorité, Sa supériorité, Son fort charisme. Jamais je ne m’étais senti autant vulnérable, je n’éprouvais plus aucune capacité à résister, plus aucune envie à m’opposer. J’obtempérais logiquement lorsqu’Il m’ordonnait de me mettre en levrette dans cette herbe humide. Il ramassait mes vêtements, les pliait et les emballait dans un sac plastique tiré d’une de ses poches.
    
    - Minable et pitoyable, pourtant satisfait d’être dans cette piètre posture, n’est-ce pas ?
    
    - Oui Maître !, balbutiais-je
    
    - Ne bouge pas, reste ainsi salope, cambre mieux tes reins, offre ton cul affamé, on ne sait jamais…
    
    On ne sait jamais…. Où voulait-il en venir ? A quoi devais-je m’attendre ? Monsieur le Marquis décampait, me laissant seul, à la fois excité et terriblement paniqué. J’étais submergé par des peurs incontrôlables, des palpitations, des frisons. J’entendais la portière de la voiture claquer, le moteur du véhicule se mettre en marche. Allait-il me laisser là, nu, au milieu de nulle part ? Affolé, angoissé, je restais pourtant immobile, cul nu en l’air, à attendre quoi ? Qui ? De longues minutes interminables… jusqu’à cet instant….
    
    - Allez debout salope, vient, suis moi… Je voulais juste tester tes capacités à l’obéissance !
    
    Ouf, Monsieur le Marquis était resté à une dizaine de mètres, caché derrière un buisson et Il était revenu me rechercher. Je venais d’avoir la plus belle trouille de ma vie ! Je ne me ...
    ... faisais pas prier, me relevais immédiatement, courais nu derrière Lui, en pleine nature, ne me souciant guère de ceux qui pourraient me voir ainsi. J’étais soulagé, rassuré. Arrivé près de la voiture arrêtée à une cinquantaine de mètres, le Maître me stoppait, me menottait les mains attachées dans le dos, me posait une cagoule opaque sur le visage. Puis, tenu par un bras, il me guidait pour me faire allonger en chien de fusil dans le coffre du véhicule, me posait une couverture sur mon corps nu et servile… Le trajet me semblait terriblement long. Balloté, secoué, paniqué, je manquais d’air, j’étouffais, cogitais… Depuis la lecture de cette lettre, je comprenais ce besoin presque vital de soumission, d’autorité, d’anticonformisme, de déresponsabilisation et de dépersonnalisation ! Le Noble connaissait parfaitement mes besoins de soumission, mes attirances, mes manques, mes appétences en la matière. Ma mère, mon père étaient-ils comme moi ou avaient-ils produit un être plus encore soumis qu’eux ? Je l’ignorais ! Enfin le moteur de la voiture s’arrêtait. Les minutes s’égrainaient, je restais enfermé dans le coffre du véhicule, à attendre... et cette attente devenait insupportable, voilà peut-être plus d’une heure que j’étais ici sans bouger. Mes membres s’ankylosaient et en plus je grelotais de froid. La couverture avait glissé de mon corps et j’avais toutes les difficultés du monde à la remettre sur moi.
    
    Enfin, enfin... la portière du coffre s’ouvrait. Une main froide me ...