1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1535)


    Datte: 20/01/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1534) -
    
    Chapitre 10 : Accompagnement particulier ! –
    
    Plus que jamais je me sentais une chose, un objet, un outil, un machin, un esclave sexuel…. Pourquoi m’avait-on stocké ici, alors que je m’attendais à quitter le Château au plus vite avec cette femme que je devais appeler désormais Madame Alice ? – ordre donné par le Maître avant de le quitter. Ce plug placé par Walter, à ma sortie du bureau de Monsieur le Marquis, bien arrimé au fond de mon cul me maintenait en transe. Il vibrait régulièrement de façon aléatoire, tantôt timidement, tantôt énergiquement. Lorsque les pulsations augmentaient, je devais me tenir aux barreaux de la cellule en me cambrant exagérément et en laissant échapper de longs gémissements totalement incontrôlables. Alors, je fermais les yeux, tentais de commander à mon corps de résister, en attendant que des vagues plus douces arrivent. Au bout d’un certain temps, toujours harcelé par cet objet vibrant en mes entrailles, je m’affalais au sol en haletant et en percevant que le bourdonnement du sang dans mes oreilles. Je tremblais de tout mon être, sans plus aucune lucidité, mon esprit totalement accaparé par ces sensations vibratoires douces et terribles à la fois, mais ô combien excitantes, me rappelant à chaque seconde ce que je suis…
    
    - Alors Mon chien, tu sembles bien agité, est-ce de l’égarement ou de la surexcitation ?
    
    Je ...
    ... n’avais pas entendu arriver Monsieur le Marquis. Il était là, devant moi, immédiatement je rampais jusqu’à Ses pieds pour lui manifester mon adhésion, ou lui réclamer pénitence et absolution :
    
    - Je vous remercie sincèrement de m’éduquer comme Vous le faites, Maître !
    
    Peut-être venais-je de Le surprendre ? Il restait impassible, sans voix ! Moi, le cul en feu, j’attendais, affalé à Ses pieds, ne pouvant contrôler quelques soubresauts liés à cet engin inquisitoire qui me labourait et ramonait mon cul. Il me laissait mijoter, ruminer. Prenait-il plaisir à me regarder ainsi, nu au sol, bras et jambes en croix, humble et révérencieux, comme dans l’incantation, l’imploration ou la supplication ?
    
    - Enfile ceci salope, c’est moi qui t’emmène chez Madame Alice et Monsieur Jean.
    
    Le Châtelain laissait tomber au sol un vieux jeans étroit et déchiré au niveau du genou droit, un gros pullover, une paire de chaussettes et des chaussures hautes, je m’habillais rapidement, alors qu’il m’ôtait mon collier de cuir pour le remplacer par une lourde et courte chaine qu’il bouclait avec un cadenas. Affublé de ces vêtements sans forme, avec cette chaine bien visible autour de mon cou, avec cette protubérance sous la braguette du pantalon due à cette cage de chasteté, moi qui portais toujours des vêtements propres et à la mode, là, je ne ressemblais à rien… Quand je souhaitais m’exprimer oralement, le Maître m’avait exigé de demander la parole en joignant mes mains bien à plat l’une contre ...
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