Inceste..., une affaire de famille (4) - Histoires de Sexe

Inceste..., une affaire de famille (4)

... quelques minutes avant qu’elle ne se retourne, se cramponne aux bords de l’évier et m’ordonne :

— Benoit, enfile-moi et démonte-moi à fonds !

Je me rappelle la scène avec Thomas et me dit que s’il dévastait sa mère, c’est elle qui le souhaitait. Il faudra que j’en parle à Maman.

Je me déchaîne en elle, ce qu’elle semble apprécier si j’en crois ses cris à chaque fois que ma bite atteint le fonds de son trou, je l’arrose copieusement de sperme et me retire. D’un doigt devant la bouche elle me fait comprendre de n’en parler à personne ; je retourne dans ma chambre en me rendant compte que je viens de baiser Claire sans avoir prononcer un seul mot.

Je me retrouve devant la même situation vis-à-vis de Jeanne que lorsque j’avais baisé pour la première fois avec Maman, mais cette fois, comme me l’a demandé Claire, je décide de n’en parler à personne.

Pendant ces périodes où nous sommes seuls, Claire et moi partageons son lit toutes les nuits. J’avais quelques craintes quant à sa fougue qu’elle avait montrée dans la cuisine ; mais au lit, je suis loin de retrouver la furie de l’autre jour. Elle est douce, aimante, terriblement sensuelle et lorsque je la pénètre, c’est un corps souple et aimanté qui se colle au mien. Nous jouissons dans une communion sexuelle passionnée.

Je suis étonné par les besoins charnels de cette femme d’un certain ...

... âge, mais il faut dire que mes connaissances en matière de sexualité féminine à cette époque sont quasiment nulles. Je fais abstraction sans problème des quelques rides et autres endroits légèrement fripés de son corps. Je la désire, elle me désire, ni elle ni moi n’en demandons plus. Je suis évidemment dans une relation sexuelle atypique, mais si vous avez lu mon histoire, je n’ai eu, à ce jour, que des relations atypiques.

A deux ou trois reprises elle m’a demandé de la baiser brutalement dans la cuisine. J’imagine qu’elle veut sans doute se rappeler de l’époque où son mari était de ce monde et qu’il avait dû la baiser ainsi, mais ce n’est que supposition.

Lorsque son fils Thomas vient la voir je lui laisse la place quoique que j’ai ressenti un certain froid entre eux deux et je ne suis pas certain que, comme moi, il la rejoigne dans sa chambre. Par contre lorsque Thomas et Jeanne se croisent j’ai remarqué une certaine attraction mutuelle. Il y a quelques semaines j’aurais été jaloux comme un tigre, aujourd’hui je me dis que c’est dans l’ordre des choses. Et pour être juste, je dois reconnaître que je ne me gêne pas pour tromper Jeanne allègrement !

Si je réussis à l’IUT, l’an prochain je vais intégrer une école d’ingénieur à Toulon et cette fois nous serons séparés pour de bon Jeanne et moi. Je prépare le terrain, d’une certaine façon.