Inceste..., une affaire de famille (4) - Histoires de Sexe

Inceste..., une affaire de famille (4)

... queue s’échappe de sa chatte, elle est à genoux, prostrée, essoufflée, les mains posées sur le sol de la douche ; je me masturbe et lui dis que je vais jouir ; elle se retourne et les jets de sperme lui maculent le visage. Je la soulève, l’embrasse farouchement ; les gouttes de pluies de la douche éparpillent le sperme. Chacun de nous essuie l’autre dans les moindres recoins de son corps et nous rentrons chacun dans notre chambre.

Le week-end suivant nous sommes de retour à la maison. Notre mère est occupée par les vendanges et ne rentre qu’après 18 heures. Nous prenons un verre de vin ensemble au salon et nous nous racontons notre semaine ; Jeanne me demande de raconter à Maman l’épisode de Claire et Thomas, mais après le récit ma mère a une réaction inattendue et nous dit:

— Thomas s’est comporté avec sa mère comme votre père avec moi, violent, expéditif, je plains Claire Poussin.

— Maman, lui dit Jeanne, après j’ai demandé à Benoît de me faire l’amour de la même façon et je t’assure que ça en vaut la peine !

— Oui, mais Benoît est un garçon attentionné qui ne demande qu’à nous faire jouir, lui répond Maryse en me tripotant ma queue au travers de mon pantalon. D’ailleurs vous m’avez manqué et j’ai bien envie de faire l’amour maintenant.

Nos corps enlacés se retrouvent sur le lit de Maryse et à force de persuasion Jeanne a décidé sa mère d’ accepter que je la baise comme elle sous la douche. Maryse s’accroche au rebord de la commode, j’admire une fois encore ...

... son divin fessier, je m’introduis en elle et la baise comme je l’avais fait pour Jeanne ; à quelque nuances près cependant : pas de douche, c’est Jeanne qui masturbe Maryse et ma bite a deux visages devant elle lorsqu’elle éjacule. Ma mère m’a dit plus tard qu’elle avait adoré.

Le calendrier scolaire n’est pas le même entre la Fac er l’IUT. De temps en temps, je me retrouve seul dans l’appartement avec Claire. Un matin je vais prendre mon petit déjeuner dans la cuisine ; Claire passe l’aspirateur dans le living, nous nous faisons un petit signe en guise de bonjour ; elle vient ensuite ranger l’aspirateur et en passant me met une main sur l’épaule ; elle se prépare ensuite un café et s’installe face à moi ; elle a ses cheveux qui lui tombe sur les épaules, cela semble la rajeunir et un revers de sa robe de chambre s’est entre ouvert et me laisse apercevoir la naissance d’un sein. Pas un mot, pas un bruit, l’ambiance est lourde et rappelle le calme plat de la mer avant l’ouragan. Nos corps, eux, se doutent que quelque chose se prépare, je commence à bander et je suis prêt à parier qu’un trouble sensuel s’empare de Claire ; elle se lève, contourne la table, s’arrête derrière moi, ses deux mains sur mes épaules, elles descendent sur mon buste puis sur mon ventre et s’emparent de ma queue à moitié molle alors que ses lèvres déposent des baisers dans mon cou. Je me lève, lui enlève sa robe de chambre sous laquelle elle est complètement nue, on se masturbe assez violemment pendant ...