1. Maman somnambule... et coquine (1)


    Datte: 18/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory

    ... de ce qui s’était passé ?
    
    Elle était assise à la table de la cuisine en train de boire son café, visiblement décontractée.
    
    — Ha, Mathieu, mon chéri. Tu as bien dormi ?
    
    — Heu, oui très bien, maman. Et toi ?
    
    — Superbement ! Ça faisait longtemps que je n’avais pas passé une aussi bonne nuit. J’ai dormi d’une traite sans me réveiller.
    
    C’était dingue. Visiblement, elle ne se rappelait absolument pas de ce qui s’était passé. J’osai cependant la questionner :
    
    — Maman, qui c’est Philippe ?
    
    Elle me regarda avec des yeux ronds.
    
    — Heu, mais personne... Pourquoi ?
    
    — Comme ça... Je me suis levé cette nuit et à travers la porte de la chambre, je t’ai entendue prononcer ce nom.
    
    Elle devint rouge pivoine.
    
    — C’est personne, je te dis...
    
    Elle mentait, bien sûr... Elle ne pouvait pas avoir ce prénom en tête sans raison. J’eus la certitude qu’elle connaissait bien ce Philippe et qu’il avait en effet dû être son amant à un moment de sa vie.
    
    2ème nuit. Pénétration.
    
    Malgré tout, la journée se passa comme si de rien n’était. Je commençais presque à douter avoir vécu cette histoire. Peut-être avais je moi-même rêvé. Tout ça était trop fou.
    
    Puis vint la nuit. Vers une heure du matin, j’entendis à nouveau des bruits venant du rez-de-chaussée. Je sortis de ma chambre, descendis les escaliers, et ouvris la porte du salon. A ma grande surprise, je trouvai ma mère exactement à la même place que la veille. Debout, immobile, les yeux fermés. Mais cette fois, ...
    ... elle était entièrement nue. C’était très impressionnant. Elle ne portait aucun vêtement. Je l’avais rarement vue dans le plus simple appareil, et je dus avouer qu’elle ne manquait pas de charmes. Ses seins étaient très gros, plutôt fermes encore. Sa taille fine, ses hanches larges. Son sexe était fourni en poils noirs, mais il était bien épilé autour de la vulve.
    
    — Philippe, c’est toi mon chéri ? Tu étais passé où, tout ce temps ?
    
    — Maman, c’est pas Philippe, c’est Mathieu, ton fils.
    
    Mais elle n’entendait rien, perdue dans sa rêverie, livrée aux fantômes de son passé.
    
    — Philippe mon chéri, on a tellement de temps à rattraper.
    
    Elle me prit dans les bras et se colla contre moi. Bien sûr, le contact de son corps nu provoqua chez moi un trouble immédiat. Je sentis sa grosse poitrine contre moi, son ventre chaud contre le mien. En plus de ça, elle se mit à onduler du bassin, frottant son bas-ventre contre mon sexe. Ce contact provoqua chez moi un beau début d’érection, ce que ma mère dut bien sentir à travers mon caleçon. Elle était excitée comme une puce et comme la veille, elle recommença ses attouchements, promenant ses mains de mes fesses à mon sexe, qu’elle commença à masturber. A nouveau, un peu lâchement, je me laissai faire.
    
    — Philippe, je t’aime tant. Viens, allons dans ma chambre.
    
    Elle me prit la main et m’entraîna derrière elle, me tenant fermement. Une fois arrivés dans sa chambre, elle s’allongea sur le lit, sans lâcher mon bras, me forçant à ...
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