1. Maman somnambule... et coquine (1)


    Datte: 18/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory

    1 ère nuit. Découverte.
    
    Cette nuit-là, impossible de fermer l’œil. On appelle ça une bonne insomnie. A 2 heures du matin, j’étais dans la cuisine en train de chercher à manger lorsque j’entendis du bruit dans le salon. J’ouvris la porte, allumai la lumière, et à ma grande surprise, je tombai sur ma mère, debout au milieu de la pièce, immobile. Elle avait les yeux ouverts, mais regardait devant elle, fixement, comme si elle dormait éveillée.
    
    — Maman ? Qu’est-ce que tu fais là, ça va ?
    
    Pas de réponse. Elle ne bougeait pas, la tête droite, sans expression. Elle était en simple chemise de nuit, d’ailleurs assez fine et légère. Par transparence, je devinais sa nudité, ce qui ne me laissa pas insensible.
    
    — Maman, hou hou ! Ça va ?
    
    Silence. Je la regardais en me demandant ce que j’allais faire. J’avais déjà entendu dire qu’elle était parfois somnambule, mais c’était la première fois que je le constatais de mes propres yeux. Je ne pouvais pas la laisser là, plantée au milieu de la pièce. Je pris sa main pour essayer de la ramener dans sa chambre.
    
    — Philippe, c’est toi ? dit-elle.
    
    — Maman, ce n’est pas Philippe. C’est Mathieu, ton fils !
    
    — Je suis si contente que tu sois là, Philippe, mon amour. Tu as pu te libérer de l’hôpital ?
    
    Je restais bouche bée. Je ne connaissais pas de Philippe. Qui était-ce ? Était-ce un de ses amants ? Et quel était cet hôpital ? Ma mère avait été infirmière quand elle était jeune. Était-ce en lien ? Je savais peu de choses sa ...
    ... vie d’avant.
    
    En attendant, j’étais assez embêté, et je la regardais sans savoir que faire. J’étais assez troublé par son corps nu sous la chemise de nuit. La tentation était grande d’en profiter un peu, remonter la chemise, juste un peu, jeter un coup d’œil à sa fente, objet de mes fantasmes d’adolescent. Mais j’eus des remords. Ce n’était pas correct de faire ça.
    
    Alors je la pris par le bras pour tenter encore une fois de la reconduire à sa chambre, doucement. Sa réaction, assez surprenante, fut de me prendre dans ses bras. Je fus tellement surpris que je la laissai faire.
    
    — Ho Philippe... Ça fait tellement longtemps ! Tu m’as vraiment manqué. Je t’aime tant !
    
    J’étais bien sûr extrêmement gêné. Elle me serrait contre elle et je ne savais plus que faire. Elle était visiblement très émue, livrée à ses souvenirs de jeunesse sans doute. Et c’est là que les choses dérapèrent.
    
    — Philippe, mon chéri...
    
    Je sentis derrière moi sa main descendre vers mes fesses et elle commença à les caresser. Mon cœur se mit à battre fort. Un peu surpris, j’attendais que ça se passe, histoire de ne pas la contrarier. Mais elle s’écarta un peu et passa ma main par-devant. A travers mon caleçon, elle trouva mon sexe.
    
    — Oulà ! Mon chéri, tu as toujours ce qu’il faut, là !
    
    Elle remua sa main sur ma queue, la malaxant avec satisfaction.
    
    — Maman, c’est moi, Mathieu, arrête !
    
    Ma mère ne m’entendait pas. Persuadée que c’était son amant Philippe qu’elle tenait dans les bras, elle ...
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