La grande foire
Datte: 17/01/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
hotel,
douche,
noculotte,
pied,
massage,
intermast,
entreseins,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... restauration rapide. Ils allaient casser la croûte sur le pouce et le stand. Elle espérait que son adjoint apprécierait, car elle-même ne prisait guère ce genre de nourriture.
— Tenez, Jean, à votre âge, on aime cette sorte de chose.
— Merci, aimer est un bien grand mot, disons que ça dépanne. Je préfère toutefois un vrai repas.
— Vous n’avez que des qualités. Masseur et gastronome !
Un sourire complice accompagna ses propos, sourire auquel il répondit. Décidément, madame Faure cachait bien sa personnalité.
— Bordel de… jura-t-elle, putain de cochonnerie de burger à la con.
Elle se tenait immobile, le sandwich loin d’elle, en état de choc. Il se demandait ce qui venait de lui arriver quand il vit l’énorme tache sur le chemisier.
— Pourquoi doivent-ils foutre autant de sauce dans leurs saloperies. Me voilà belle, maintenant. Je vous laisse quelques instants, je vais voir si je peux réparer les dégâts.
Elle s’éloigna furax vers les toilettes. Si unMac quelque chose croisait sa route, il ne donnait pas cher de sa peau. Il restait seul à s’occuper du stand, heureusement à l’heure du repas la fréquentation diminuait.
Période de calme vite interrompu par le téléphone.
— Jean, venez vite.
— Je ne peux pas laisser le stand…
— Tu rappliques vite fait, c’est un ordre.
— D’accord, mais où ?
— Dans les toilettes pour dames.
Quel bordel ! Il espérait simplement que le local serait vide. Sa relation avec sa patronne devenait de plus en plus ...
... étrange.
Heureusement, à son arrivée aucune femme ne se refaisait une beauté, sans parler d’autre chose.
— Ouh ouh ? Madame Faure ?
— Oui, je suis dans la première cabine. Mon petit, j’ai remarqué que vous portiez unmarcel sous votre chemise.
— Euh, oui…
— Pourriez-vous me le donner.
— Hein ?
— Vite…
— Mais je ne peux pas me foutre à poil dans les toilettes pour dames, je vais me retrouver au gnouf pour exhibitionnisme.
Elle en avait de bonnes la dirlo !
— Pas faux. Venez me rejoindre.
Une porte s’ouvrit et elle lui fit signe d’approcher. Au même moment une femme d’un certain âge, ou d’un âge certain, fit son entrée. Elle eut un moment de stupeur et un mouvement de recul en voyant un homme traîner dans cet endroit. Il se réfugia avec sa patronne dans la cabine presque entièrement close, seul un espace près du plafond s’ouvrait vers l’extérieur.
— Regarde-moi cette tache, énorme, impossible de la faire partir. J’ai bien pensé ne mettre que ma veste, mais contemple le résultat !
Il devait admettre qu’elle ne passerait pas inaperçue. L’unique bouton de son tailleur se situait un peu au-dessus du nombril. Ce qui laissait une vue imprenable sur sa poitrine, faisant la promotion de ses seins, mis en valeur par son soutien-gorge plongeant bleu nuit. Le nombril lui aussi se trouvait à la fête, de même que le ventre presque plat. Tout type normalement constitué qui la croiserait se transformerait illico enLoup version Tex Avery.
— Effectivement, si vous vous radinez ...