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Triple A (9)
Datte: 17/01/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: Brimbelle, Source: Xstory
... un peu en retrait et Andréa tenait les vêtements sur son bras en attendant de les passer. Si pour la première elle a pris soin de bien tirer le rideau, il en fut tout autrement lorsqu’elle voulut essayer la suivante. De l’endroit où j’étais je pouvais clairement voir qu’elle était nue. Et si je la voyais d’autres aussi pouvaient le voir. Elle était belle et désirable, mais selon sa position on pouvait voir que son fondement n’était pas libre et, qu’avec l’éclairage, des scintillements étaient perceptibles entre ses fesses. Elle se décida pour le modèle qui était en vitrine. Quand nous sommes sorties du magasin, je ne pus m’interdire de lui dire : — Tu étais consciente que tout le monde pouvait te voir nue ? — Oui bien sûr ! Et alors ? — Mais c’est totalement déplacé ! — Le bon Dieu ne nous a-t-il pas fait des yeux pour voir ce qui est beau ? J’étais interloquée par sa réponse. — Ne t’en fais pas, toi aussi tu apprécieras, et dans pas longtemps. D’un seul coup la phrase d’Andréa me revint en tête : tout est prévu ! À cet instant je m’attendais au pire. Le pire que je redoutais arriva peu de temps après où sans me méfier, nous sommes entrées dans une autre boutique où Andréa voulut essayer de la lingerie. Inconsciemment je restais en retrait pendant notre vagabondage entre les rayons. Je regardais et touchais différents modèles qui me plaisaient sans me rendre compte que derrière moi elles s’en saisissaient. Quand nous sommes arrivées au fond du ...
... magasin Adriana qui était dans mon dos me poussa dans une cabine en me disant : — Entre et essaye ça ! Elle me tendit une parure toute en dentelle transparente. Je n’ai pas pu me dérober. J’étais à peine à l’intérieur, juste le temps pour moi de retirer ma robe que le rideau s’ouvrit et resta grand ouvert : — Alors ? demanda Andréa. Dans un réflexe de pudeur j’ai mis un bras pour couvrir ma poitrine et une main sur mon pubis pour couvrir mon intimité. Andréa était sortie de sa cabine pour venir devant la mienne vêtue seulement de la parure q’elle essayait. — Arrête de faire ta mijaurée, tu es magnifique. J’ai croisé quelques regards dont celui d’un quinquagénaire qui attendait sûrement sa moitié. Il a été surpris, mais il a eu la courtoisie de détourner son regard même s’il a pris le temps de me sourire. Cela me rassura quelque peu et presque inconsciemment j’ai abandonné cette attitude pudique dans laquelle je m’étais réfugiée. Elle referma la tenture occultante sans prendre la peine de rendre la cabine totalement hermétique aux regards. J’ai enfilé la première parure composée d’un string minimaliste et d’un soutien gorge balconnet qui dissimulait à peine l’aréole de mes seins. Je me trouvais ravissante, mais j’ai constaté que les marques de bronzage étaient discordantes entre ma peau mate et la blancheur de l’ensemble. Le bronzage intégral s’imposait. Le rideau s’ouvrit à nouveau : — Tu nous montres ! Adriana se saisi d’un de mes poignets pour m’obliger à ...