Première semaine de Vacances - Histoires de Sexe

Première semaine de Vacances

... sève, je reprends mon souffle.

Elle m’arrache de son sexe, me tirant par les cheveux jusqu’à unir nos lèvres ; elle m’enlace, baiser gourmand parfumé de ses orgasmes. Ses mains effleurent mon dos, puis elle s’immobilise, son corps se relâche, apaisé par ses tumultueux orgasmes.

La trêve n’est pas très longue, je suis projeté sur le dos ; elle se jette littéralement sur moi, visiblement elle n’en a pas fini. Elle prend l’initiative, j’essaie de caresser sa belle poitrine, mais…

— Pas touche ! Laisse-toi aller à mes envies, tu ne peux exprimer que ton plaisir, rien d’autre. Je vais faire de toi un homme.

Ce que je viens d’entendre est si inconcevable que j’ai du mal à l’intégrer. Mais déjà elle butine mon cou, lèche ma poitrine, mes tétons. Ses mains courent sur mon corps, elles sont douces, sensuelles et vives, elles courent de ma poitrine à mes cuisses, mon ventre, mais ignorent mon sexe, pourtant fièrement dressé, ému de tant d’attentions charnelles. Caresses féminines, délicates, je suis sur un nuage, baigné de béatitude érotique ; les yeux clos, je me laisse aller aux voluptés de cette féline créature.

Une volupté humidité sur ma queue, sa bouche pulpeuse me suce le gland. Mes rares conquêtes féminines me suçaient timidement du bout des lèvres, cette gourmandise charnelle n’a rien à voir.

Elle engloutit sans difficulté ma petite queue et ses noisettes, elle me suçote avec gloutonnerie, un doigt titille mon anus avant de le pénétrer. Je ne lui résiste ...

... pas, une chaude effervescence m’envahit.

Elle éveille mon ambiguïté de sa bouche et de son doigt, mon excitation est intense, je m’agite comme une anguille sensuelle, mes gémissements n’ont rien de très viril.

Sentant ma tension monter, ses lèvres me libèrent, elle m’enjambe, saisit mon petit kiki tout raide et le guide jusqu’à sa vulve.

Doucement, son bassin vient à la rencontre de ma verge, je découvre pour la première fois la douceur d’un sexe féminin. Ma première pénétration, quelle douceur ardente, je glisse dans cet écrin tapissé de velours ! Son bassin s’agite, elle frotte sa vulve, entraînant mon pénis dans un subtil massage.

Nos gémissements s’accordent en une symbiose voluptueuse. Il ne lui faut pas longtemps pour avoir raison de mon désir, je jouis, j’accompagne ma jouissance d’une plainte timide, elle accélère, se démène comme une diablesse, profitant des derniers instants de ma raideur pour libérer une troisième fois son orgasme dans un miaulement.

— Aooooh ! Ouuioh ! Ouuiiiiii !

Nos corps rassasiés se détendent. Je songe, ma dernière parcelle de naïveté vient de s’envoler, physiquement, psychologiquement, à présent radicalement déflorée.

Au réveil, je rayonne, mon timide orgasme n’en est pourtant pas la raison. Non, pour la première fois, j’ai fait l’amour à une femme, mon orgasme sans intérêt, cet acte charnel est si précieux. Néanmoins, je m’interroge, ne suis-je vraiment réceptif qu’aux plaisirs que me donnent les hommes ?

Je m’apprête à ...