1. Et tout ça, pour un string porté


    Datte: 16/01/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... que quelques secondes, espiègle, elle n’arrêtait observer ma queue qui gondolait le devant du string. Puis elle tendit son bras, assez pour atteindre le combiné installé sur la tablette, qu’elle tira à elle. Là elle composa le numéro et attendait en me fixant d’un air moqueur.
    
    -Allo ma fille… oui je suis chez toi… et bien sache que je l’ai trouvé dans une tenue que je dirai très spécial… comment te dire il portait tes sous-vêtements… comme je te dis… je l’ai attaché… je ne me suis pas gênée… je reconnais qu’il fait ça à la perfection… quoi on prend le plaisir où il est, ma fille… oui d’accord je suis ta mère je ne reste pas moins une femme… quoi papa… qu’est-ce que je fais de ton Alain, je ne sais pas moi c’est bien pour ça que je t’appelle… oui très bien,à tout de suite…
    
    Je la maudissais des yeux d’avoir prévenu sa fille. Elle reposa le combiné, et ce leva pour rejoindre le tas d’habit en oscillant exagérément des fesses. J’écumais de désir. Mes pensées allaient et venaient à toute allure, dans un mélange affreux de honte, de pudeur, et d’embrasement.
    
    Du bruit se fit entendre du côté de l’entrée, pas le temps de paniquer que déjà m’apparut Camille.
    
    -Eh bien si je m’attendais à ça ce matin en me levant je ne l’aurais pas cru.
    
    Elle se pencha et tâta ma queue. C’était horrible ! C’était l’excitation qui prenait le dessus sur tout le reste, sur la peur, sur la honte, sur le dépit.
    
    Camille écarta le string et entoura ma queue de ses doigts, et elle me branla ...
    ... quelques instants.
    
    -Tu ne peux pas savoir comment je suis heureuse, lâcha-t-elle, tirant naturellement sa culotte de dessous sa jupe.
    
    Comme l’avait fait sa mère plus tôt, d’ailleurs où était-elle celle-là ? disparue ! Camille força ma tête à plonger dans son intimité. Elle se mit aussitôt à se tortiller en gémissant de plaisir. Je tremblais de désir tout en lui donnant du plaisir avec ma bouche, alors qu’elle se déhanchait de plus en plus vite et criait de plus en plus fort. J’avais mal à la langue tellement je la tendais pour la caresser. Elle se crispa, se raidir, par à-coups. J’étais l’homme le plus heureux de la terre. J’avais ce que j’aimais le plus au monde sur ma bouche.
    
    Et soudain, elle m’agrippa par les cheveux, se cambra en m’écrasant plus encore. Accéléra encore son rythme, à me râper le menton, criant sans discontinuer, ses doigts plongeaient entre ma bouche et son sexe, tournoyant à toute allure. Et elle jouissait en hurlant tandis qu’un liquide chaud ruisselait de son sexe à mon menton et mon torse. Elle s’écroula au-dessus de moi.
    
    Après cela il était temps pour elle, de se retirer. Je lu dans ses yeux autant d’excitation et de malice. Un peu comme ceux de la mère plus tôt.
    
    -Je crois qu’il est temps de te soulager, murmura Camille, ses yeux braqués dans les miens, tandis qu’elle empoignait ma verge, après avoir écarté le string.
    
    J’oscillais fébrilement du bassin pour me branler dans sa main.
    
    -Tu es en manque à ce que je vois, fit-elle en ...