1. Et tout ça, pour un string porté


    Datte: 16/01/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... moi sagement là, je reviens.
    
    Je m’étais contenté de l’écouter. Et e fut ainsi que quelques instants pour tard, elle me revint des bas plein la main. Et très elle entreprit de m’attacher solidement.
    
    -Comme ça tu seras à ma merci. M’envoya-t-elle, en se tournant devant moi, agitant son fessier sous mon nez.
    
    J’étais immobilisé sur la chaise où elle m’avait attaché les mains derrière le siège. Mes chevilles étaient également liées aux pieds de la chaise, me maintenant les cuisses légèrement ouvertes. Béatrice prenait un malin plaisir à ne pas me toucher, se contentant à m’exciter en se déshabillant et en se caressant doucement. Par son effeuillage elle me dévoila un corps somptueux aux courbes divines. Quand vint enfin le tour de sa culotte, elle me jeta un regard espiègle et la lança vers moi. Le morceau de tissu s’échoua sur mon visage.
    
    -Sens-la !
    
    Avait-elle besoin de me le dire. Toutefois, une forte odeur de pisse envahit mes narines.
    
    -Et dire que je m’apprêtais à envoyer promener ma fille quand elle m’avait téléphoné ce matin pour me dire de venir te rendre une petite visite, pour s’avoir si tu ne manquais de rien. Eh bien je ne regrette pas d’être venue. Pour rien au monde j’aurai loupé ça. Et je compte sur toi pour me faire jouir ! tu entends ? me rétorqua-t-elle d’une voix autoritaire.
    
    Elle massa sa poitrine en me couvant d’un regard lubrique. Puis elle touche négligemment mon sexe tendu sous le string.
    
    -Hmmm ! Tu m’as l’air rudement ...
    ... excité…
    
    J’avoue que s’était loin d’être désagréable. Surtout que la fameuse Béatrice avait tout pour me plaire. Elle descendait une main entre ses cuisses et se caressa un instant, me regardant en soupirant de plaisir. Puis elle alla chercher deux chaises qu’elle plaça de chaque côté de moi. Avec habileté elle se hissa dessus, un pied sur chaque chaise, et là debout elle agrippa ma tête qu’elle plaqua contre son entrejambe en ordonnant :
    
    - Lèche-moi !
    
    Pour être à ma hauteur, elle s’avança encore un peu et replia une jambe, pour poser son genou en appui sur mon épaule, écrasant de la sorte sa fente trempée et odorante contre mon visage. Avec avidité, je parcourais sa raie, de ses lèvres jusqu’à son clitoris, lapant sa vulve, tentant d’y enfoncer ma langue. Ça avait l’air de lui convenir. Elle, qui se crispa en gémissant tandis que je lui bouffais la chatte. Comblée, elle pressa de plus belle ma tête contre son intimité. Se frottant contre mon visage, se déhanchant d’avant en arrière, se dandinant de plus en plus vite au-dessus de moi, m’écrasant presque sous son bassin tandis que je continuais de la lécher avec passion, de titiller son clitoris, de mordiller ses lèvres, de glisser ma langue à l’orée de son vagin.
    
    Son plaisir ne tarda pas de couler dans ma bouche, sur mes joues, sur mon menton. Et bientôt, dans un long hurlement, elle jouissait en se crispant dans une dernière série de spasmes.
    
    Puis elle alla se poser sur le divan pour reprendre ses esprits. Ce qui ne lui prit ...