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La Reine de Glace Pt. 02
Datte: 01/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymisterbone, Source: Literotica
... Est-ce que je peux aller aux toilettes? - Non. J'aime savoir que mon sperme sèche sur tes cuisses. Et après un long moment. - À Castel Rojo, il n'a jamais été question de marier ma fille. - En effet, c'est un ajout personnel. - Pourquoi? - Par ce que ma femme est morte il y a 12 ans, que j'aime bien tes filles et que je veux des enfants. Et puis, parce que je le peux. Au moment où les ronflements de Raphaël retentirent dans la pièce, les poings de Jeanne ne s'étaient toujours pas desserrés. La douleur sourde qui lui tenaillait le ventre depuis son viol avait été remplacée par un grand sentiment de rage et d'impuissance et par la douleur aiguë qui enflammait son vagin après avoir été de nouveau fendu par la lourde queue du Parrain. 4. La visite de Raphaël laissa un malaise important chez les Castillos. Jeanne n'était plus la même. Elle était toujours froide et distante, mais elle semblait plus vielle, plus affaiblie que jamais. Son caractère combatif l'avait quitté. Par ailleurs, l'essentielle de sa rage était maintenant dirigé contre Sylvie. Elle ne représentait plus rien pour elle. Elle n'existait plus. Deux jours après la visite de Raphaël, Sylvie alla voir sa mère. - Maman, il faut que je te parle. Jeanne dévisagea sa fille comme si c'était un chien errant. - Tu n'as rien à me dire. Tu as fait tes choix. - Mais Maman, j'ai un plan. - TAIE TOI PUTAIN! Tu as déshonoré ton nom, ta famille et la mémoire de ton père. Tu n'es plus ...
... qu'une garce, une catin aux mains de ces chacals. Ils te baiseront jusqu'à ce que tu sois sur le trottoir et ensuite ils te jetteront aux chiens. - Tu n'es plus ma fille. Tu es la pute de Da Silva. - Mais..... Les yeux de Sylvie se remplir de larmes. La mère tourna le dos à sa fille et sortie la laissant en larmes. Ce fut la dernière fois que Jeanne adressa la parole à Sylvie. Marie avait une vision différente de la chose. Elle était terriblement choquée par le comportement de sa sœur, mais elle gardait un doute raisonnable sur ses motifs. Sylvie ne lui avait-elle pas confié la veille de la visite qu'elle avait un plan? Quoi qu'il en soit, la cadette des Castillos était soulagée. Il était maintenant clair que Da Silva jetterait son dévolu sur sa sœur. Elle était toujours tendue et inquiète, mais elle pouvait maintenant respirer. Elle fit ce qu'elle savait faire de mieux. Ce qu'elle faisait lorsqu'enfant elle avait peur pour son père ou pour sa famille. Elle se réfugia dans la lecture et les arts. Marie était une véritable intellectuelle capable de lire plusieurs livres par semaine. De plus, c'était une artiste talentueuse. Par conséquent, elle se lança à corps perdu dans les bouquins et la peinture. La vie lui était ainsi plus supportable. Sylvie était quant à elle dévastée. La réaction de sa mère l'avait profondément blessée. Elle ne dérageait pas contre cette « conne qui ne comprenait jamais rien et qui voulait régenter sa vie ». Elle restait convaincue que son ...