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La Reine de Glace Pt. 02
Datte: 01/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymisterbone, Source: Literotica
Pt 2. Les fréquentations Je tiens à m'excuser pour la forme un peu confuse de la première partie. L'éditeur automatique de Literotica n'a pas reconnu les symboles qui séparaient les parties de l'histoire. La situation est maintenant corrigée. 1. Raphaël Da Silva était particulièrement fier de l'effet produit par sa déclaration. Le viol de la femme du Parrain déchu faisait certes partie des traditions, mais l'épousaille d'une de ses filles étaient une invention personnelle. Sa femme et unique amour de sa vie étaient décédés d'une fulgurante maladie à l'âge de 31 ans. C'est suite à sa mort que Da Silva entrepris sa montée dans l'organisation. Il ne s'était jamais remarié. Il vivait une vie de sultan dans son domaine de campagne. Il se disait que c'était incroyable de voir ce que des femmes pouvaient faire pour être avec un homme riche. Nombreuses étaient les filles qui le courtisaient ouvertement et nombreux étaient ses subordonnés qui lui offraient leur fille pour pouvoir monter dans la hiérarchie. Il avait bien profité de l'occasion à quelques reprises, mais il préférait rester éloigné de toutes relations. De toutes façon, il disposait de suffisamment de putes à son service pour se satisfaire. Au moment de partir, il se leva, pris chastement les mains de Marie et Sylvie Castillo et déposa un petit baisé sur chacune. - Je dois partir, mais je vous laisse en compagnie de personnes de confiance. Le docteur Marianni s'occupera de la santé de votre mère. Dès ...
... demain, je veillerai personnellement à ce qu'une équipe de serviteurs de qualités soit à votre entière disposition. - Je reviendrai bientôt pour qu'on puisse faire plus ample connaissance. Une fois le chef de la mafia parti, les deux filles se précipitèrent sur leur mère. Un petit homme bedonnant s'occupa de couvrir la pauvre femme. Jeanne Castillo était en état de choc. Elle était fiévreuse et grelottait. Son regard était vide et elle ne répondait à aucune stimulation verbale ou physique. Le docteur lui administra un calmant et s'occupa de ses blessures. Il donna des cachets de calmant aux deux filles en leur assurant que l'épreuve était finie et qu'elles n'avaient rien à craindre de Da Silva, qu'il était un homme de parole et qu'il ne s'attaquerait pas à elles. 2. La semaine qui suivit fut très éprouvante pour tout le monde. Dès le lendemain, une petite troupe de domestiques menée par une gigantesque femme russe répondant au nom de Irène débarqua dans la villa. La famille Castillo était traitée aux petits oignons et le moindre de leur besoin était comblé avec empressement. Cependant, personne n'était dupe. Toute cette attention ne faisait en rien oublier qu'ils étaient prisonniers dans leur propre maison. Les contacts avec l'extérieur étaient limités et il leur était impossible de sortir de la villa. Jeanne Castillo se relevait lentement de son épreuve. Elle mangeait peu et ne parlait pratiquement pas. Son attitude était rigide et son regard sévère. Les filles ...