1. L'hôtel Beau Rivage (6)


    Datte: 12/01/2022, Catégories: Lesbienne Auteur: La_douce, Source: Xstory

    Le lendemain matin, samedi, 9 heures.
    
    — Réveille-toi mon amour, il est déjà 9 heures...
    
    Le réveil est doux, les caresses de Sylvie sur moi, mon ventre, ma poitrine font un réveil délicieux. Elle m’embrasse...
    
    Sylvie est toujours en nuisette, mais elle a déjà pris sa douche. Elle s’est levée plus tôt que moi. Elle a tiré les rideaux pour laisser entrer la lumière dans la chambre.
    
    — File te doucher, j’appelle le room service. On prend le petit-déjeuner ici, tu es d’accord ?
    
    — Oui oui pas de problème... Je dis en m’étirant. Je serais bien rester couchée faire la grasse mat’.
    
    — Allez ! Lève-toi feignasse ! ; me dit Sylvie en rigolant et m’envoyant un oreiller sur moi.
    
    Douche prise, j´entrouvre la porte, cheveux mouillés et sèche-cheveux en main, et là j’assiste à une scène qui me laisse sans voix.
    
    Le room service est arrivé et est assuré par une jeune femme que nous n’avions pas vue la veille. Vêtue de sa robe noire, d’un tablier blanc et de sa coiffe blanche.
    
    Sylvie est allée lui ouvrir, vêtue comme elle l’était avec moi, en nuisette, sans pudeur. Cette jeune soubrette se trouvait déjà surprise.
    
    Mais la coquine de Sylvie, avec beaucoup de perversité, pendant que la serveuse prépare le petit-déjeuner, prétextant prendre de la monnaie dans son sac pour le pourboire, se penche bien nettement en avant, offrant la vue de ses fesses et son sexe nu à la servante rougissant... Sophie avait préparé son coup, car elle avait remis son rosebud. La servante ...
    ... voyait le beau séant de Sylvie dont la pierre brillante bien au milieu de son sillon.
    
    Je reste là, entourée de ma serviette, dans l’encoignure de la porte, à assister à cette scène osée et regarder cette pauvre servante toute rouge qui ne sait pas où se mettre.
    
    Sylvie fière d’elle lui tend un billet de 10€ en souriant. Elle remercie et quitte la pièce en galopant sur ses petits talons, certainement toute émoustillée.
    
    La porte fermée, nous éclatons de rire de cette blague osée de Sylvie... J’ôte ma serviette pour renfiler ma nuisette, puis nous nous attablons à ce déjeuner copieux, avec vue sur la mer, fenêtre ouverte.
    
    Les parfums iodés venaient envahir la chambre.
    
    Il fait dehors un temps magnifique et d’une agréable douceur. Nous sommes si bien !
    
    Nous discutons de tout de rien, de nos maris... De ce que nous allons faire après le petit-déjeuner et de nos tenues et aussi de cette « surprise » du soir. Puis la discussion se porte sur la folle soirée d’hier.
    
    — J’ai tellement aimé cette soirée ma chérie ; me dit Sylvie. Merci mon cœur, tu as été exquise, audacieuse, si...
    
    — ... salope ?
    
    Sylvie se met à rire... « Oui, exactement... si salope ! J’adore ! »
    
    La discussion est ponctuée par un baiser langoureux, où nos langues se mélangent, s’enroulent ».
    
    La décision est prise. Nous appellerons un taxi pour qu’il nous emmène en centre-ville. Nous flânerons sur le bord de mer, prendrons du temps pour aller dans quelques boutiques et aller là où le vent nous ...
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