1. Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. (19)


    Datte: 11/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Mon beau-père fait mon éducation sexuelle. 19Ma belle-mère, dernière vengeance.
    
    Jean lui donne sa teub à sucer pour la faire taire. Au bout de quelques minutes, il pousse un cri de jouissance car les violents coups de reins de Claude propulsent la bouche de sa femme toujours plus loin sur sa lance qui ne demande plus qu’à se vider, forçant Léonie à avaler son sperme, une première pour lui, et pour elle...
    
    Léonie est en sueur et n’en peut plus, la chatte en feu, mais Jean lui explique:
    
    — Alors ? Ça te plaît ? Mais tu n’es qu’au début d’un formidable trip. Le petit coup vite fait avant de faire dodo, c’est pas au programme !
    
    Suite :
    
    Elle regarde son mari d’un air implorant, mais quand ses yeux dévient sur le bas-ventre de Claude, c’est l’envie que l’on peut lire. Son corps ne lui appartient plus, sursautant à chaque pénétration trop profonde de ce jeune bouc infatigable, gémissant, feulant aux orgasmes multiples qu’elle ne peut réfréner, arrivant à l’extase. Elle ne se plaint même pas des claques violentes qui tombent sur ses fesses.
    
    Claude s’est retiré après une longue chevauchée, il se branle d’une main et la fiste de l’autre. Elle ressent dans ses entrailles plusieurs doigts qui recherchent son point G, la faisant délirer de plaisir.
    
    Claude est arrivé au point de rupture et zèbre le dos de Léonie de longues traînées blanchâtres.
    
    Une semence épaisse s’étend de la fente de ses fesses jusque dans son abondante chevelure.
    
    Léonie laisse retomber sa ...
    ... tête sur le lit, croyant que son supplice si sensuel est fini. Elle sent les doigts de Claude racler son dos pour récupérer du foutre, puis en graisser sa chatte et son anus. Affolée, elle sent un, puis deux doigts forcer ce trou qu’elle a toujours interdit à son Mari.
    
    Voyant les fesses offertes, l’anus préparé par ses mains, Claude se positionne et jette un regard à Jean pour son approbation qui anone de la tête. Claude saisit sa verge qui a perdu un peu de sa raideur, colle son gland sur la rondelle fripée et force cette porte étroite.
    
    Léonie hurle de douleur mais le gland a déjà franchi le gué. Je lui conseille d’un air goguenard :
    
    — Laisse-toi faire si tu ne veux pas déguster... Et toi Claude, prends-la par-là, donne-lui du plaisir par le cul, explose lui la rondelle !
    
    — Nooonnn ! Oh putain ! Oh putain ! Arrête ! Tu me casses le cul ! Hurle effrayée Léonie. Mais ce n’est pas pour ça qu’elle essaie de s’y soustraire. Je dirais même qu’elle nargue son mari de n’avoir jamais osé.
    
    Mais Claude n’en a cure. Son défonce-cul, broyé par le sphincter de Léonie, reprend soudain du gourdin. Il peut lâcher la bête sauvage qui na plus besoin de collier. Il pose ses mains sur les reins de Léonie et donne un monstrueux coup de reins, s’enfonçant jusqu’à la garde dans le fion de Léonie.
    
    Elle hurle comme jamais. Autant il a été doux avec moi, autant il ne prend pas de gant avec elle, comme je le lui avais demandé, je tiens ma vengeance.
    
    Claude attend quand même un moment ...
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