1. Nuit Nordique


    Datte: 09/08/2018, Catégories: Anal Gay Masturbation Auteur: MG1228, Source: xHamster

    ... venait frapper la barre, provoquant une série d’étincelle. Les biceps contractés travaillaient le métal avec une volonté implacable. L’avant-bras massif se terminait par un énorme battoir couvert d’un gant en cotte-de-maille. L’étranger observa ce viking imposant, en plein travail, tendu par l’effort. Son dos musclé se courbait sur son ouvrage, ses épaules, plus larges que celle d’un ours, s’arquaient et ressortaient davantage. Il ne portait sur lui qu’un pantalon en cuir de phoque et une veste sans manche taillée dans la même matière, ouverte sur le devant. A la lueur des flammes, l’invité distinguait les poils qui se détachaient sur le torse de son hôte ; ce dernier devait avoir suffisamment d’expérience pour ne pas craindre une brûlure.
    
    Le forgeron, taillé à la serpe, releva la tête et fixa l’homme qui l’observait depuis le seuil de son atelier. Il se leva et obstrua la lumière avec son corps musclé. Il se dirigea vers l’intrus, qui tenta de reculer, mais ses cuisses chancelantes le trahirent et il bascula en arrière. Kalle le rattrapa de justesse, le souleva comme s’il n’avait été qu’un fétu de paille et le ramena dans le lit. Il lui apporta de quoi manger et resta là, devant lui, tandis qu’il avalait une étrange bouillie dans laquelle flottait des morceaux d’une viande non-identifiée.
    
    Le garçon pâle dévisagea l’artisan sans la moindre gêne. Il appréciait ce visage rude, encadré par une longue chevelure blonde – les mèches pendaient librement et descendaient pour ...
    ... serpenter sur d’énormes pectoraux. Une barbe taillée dévorait les joues du viking ; elle était peu dense et aussi dorée que sa chevelure. La peau brunie par la forge faisait d’autant plus ressortir des yeux d’un bleu intense, presque insoutenable.
    
    Le forgeron tenait compagnie à son invité qui, enveloppé dans sa couverture, mangeait du bout des lèvres. Lorsque le bol fut vide, l’étranger le tendit à Kalle et, d’une voix douce mais abîmée par le froid, il articula un mot.
    
    Ulrich
    
    . L’artisan le regarda en se demandant ce qu’il voulait dire. Le jeune homme répéta
    
    Ulrich
    
    en posant une main sur son torse pâle. Comprenant qu’il se présentait, son hôte fit de même. Ulrich posa alors sa main sur le torse velu en répétant
    
    Kalle
    
    , avant de la ramener contre sa propre peau. Il articulait les noms comme un enfant qui apprenait à parler.
    
    Ulrich – puisque c’est son nom – observa Kalle pendant un moment. Ses doigts le démangeaient encore ; le contact avec la peau épaisse et poilue l’avait dérangé et excité en même temps. Il avait l’impression d’avoir déjà senti ce contact, dans son sommeil. Il n’en aurait pas juré, il avait fait tellement de rêves étranges. Il se rappelait la sensation d’une main puissante serrée autour de son membre. Il ne pouvait pourtant pas affirmer que c’était celle du viking – une armoire à glace comme ce type pouvait satisfaire toutes les femmes du village en une nuit, alors pourquoi s’occuperait-il d’un garçon comme lui ?
    
    Kalle quitta la ...
«12...789...14»