Nuit Nordique
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
Anal
Gay
Masturbation
Auteur: MG1228, Source: xHamster
... la pulpe de ses doigts. Le dos du garçon s’arqua alors sous la décharge de plaisir, il se détacha du lit l’espace d’un instant puis retomba en lâchant un soupir de plaisir. Dans les secondes qui suivirent, son pieu charnu dégorgea une grande quantité de semence collante. Elle suinta entre les doigts de Kalle, se répandit sur le dos de sa main velue, dégoulina en longues rigoles poisseuses qui allèrent se perdre dans la toison pubienne de l’hôte. Quelques giclées rebelles furent projetées avec plus de vigueur et éclaboussèrent le torse finement sculpté ; elles se répandirent en traînées visqueuses sur ses abdominaux et ses pectoraux.
Sans un mot, Kalle prit un tissu qui traînait dans un coin et nettoya le jeune homme – il ne semblait pas avoir été ébranlé par ce qu’il venait de faire. Il passa distraitement le dos de sa main sous son nez pour respirer l’odeur masculine qui se dégageait des restes de semence ; une odeur raffinée, légèrement épicée, avec un petit quelque chose d’exotique. Il se contenta de lancer un nouveau regard en direction du visage pâle – plus détendu. Des mèches brunes tombaient sur le front délicat, les paupières s’étaient relâchées et la pellicule de sueur qui recouvrait la peau semblait moins fiévreuse – elle n’était due qu’au plaisir éprouvé. Le forgeron recoiffa distraitement l’homme qui dormait dans son lit ; ses cheveux étaient si courts comparés à ceux des nordiques – ils n’atteignaient même pas ses épaules. Dans la culture viking, les ...
... cheveux longs étaient un symbole de puissance et de virilité, mais ce garçon venait de prouver que ce n’était pas non plus une règle immuable. De la virilité, il en avait à revendre, aucun doute là-dessus.
L’artisan regagna son atelier, apparemment indifférent à ce qu’il venait de faire – il était toutefois difficile d’ignorer l’éperon volumineux qui tendait le cuir de son pantalon.
Le marteau recommença à frapper l’enclume avec v******e. Le métal chauffait, se tordait sous les coups de son maître. Le bruit emplissait la forge. Le bruit rythmé résonnait dans les murs. Il berça l’étranger, qui remuait dans son sommeil. Sa main trouva à l’aveugle la couverture en peau d’ours, et il s’en recouvrit sans savoir que, quelques heures auparavant, une bête en tout point semblable avait failli le dévorer. Il s’emmitoufla et resta recroquevillé en position fœtale pendant un long moment, avant de rouvrir enfin les yeux.
Il chercha d’abord à savoir où il se trouvait. En vain. Il voulut donc identifier le martellement incessant qui lui battait les tempes. Il se leva, toujours couvert par la peau chaude, qu’il traîna derrière lui en s’avançant jusqu’à la pièce voisine. Il s’appuya sur le chambranle de la porte, ses jambes cotonneuses le portant à peine.
Il vit cette forme sombre noyée dans un océan de lumière rougeoyante. La silhouette avait quelque chose de charbonneux, on aurait une braise nimbée de flamme. Un bras massif s’abattait sur une longue tige ardente. La masse en pierre ...