Drague avec mes fesses (14)
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: zooph34, Source: Xstory
... déjeuner. Hector va lui dire bonjour, je me déshabille dans l’entrée et entre dans la cuisine, pose pain et croissants sur une table. Elle est de dos, toujours aussi belle, je l’enlace, colle mon corps contre le sien et lui dépose un baiser dans le cou. Elle pivote pour échanger un baiser avec moi. Elle arrête de m’embrasser, se recule et m’observe.
–Dis donc toi, tu es toute chose, tu as déjà fait une petite partie de jambes en l’air avec Hector ce matin ?
–Oui, mais complètement involontaire.
–Comment ça involontaire.
Je lui raconte ce qui s’est passé dans la rue, avec force détails.
–Putain, ça donne envie de faire la même chose.
Elle s’accroupit devant moi, me saisit les fesses, m’attire à elle et me colle sa bouche sur le clitoris. Il ne me faut que quelques secondes pour jouir. Elle se redresse, s’appuie contre le plan de travail et appelle Hector qui s’approche lentement. Il tend le museau vers le sexe de sa maîtresse, sort sa langue et la lèche avec vigueur. Comme avec moi, elle ne tarde pas à jouir, debout adossée au plan de travail.
–C’est chouette, mais il faut absolument que je réussisse à le faire comme toi, dans la rue.
–Tu n’auras qu’à sortir Hector tôt le matin avec la tenue adéquate.
–Je n’y manquerais pas.
Sandrine arrive juste au moment où on s’installe pour déjeuner. Elle pose son sac dans l’entrée et se met en tenue de rigueur.
–Salut les filles, bien dormi ?
–C’est plutôt à toi qu’il faut le demander, comment ça ...
... s’est passé avec Florence ?
–Très mal, je l’ai quitté hier à vingt heures, je suis retournée chez ma mère.
–A ce point ?
–Je croyais qu’elle était comme moi, mais elle est devenue jalouse et possessive, je ne le supporte pas, je la laisse libre, mais je veux qu’elle me laisse libre.
–Et ça va ?
–Non, c’est dur, pour elle aussi, mais je crois que c’est la seule solution pour nous deux.
–Ok, tu déjeunes avec nous et on part.
Après le petit déjeuner, nous nous mettons en tenue de sortie, c’est-à-dire, microjupe plissée, corsage et blouson chaud. Nous sortons toutes les trois avec Hector, la voiture d’Elodie est à quelques centaines de mètres. Notre tenue et le chien attirent tous les regards, nous sommes toutes les trois dans le même état, les fesses gelées, mais le sexe chaud et humide. Hector le sent et devient difficilement tenable, il va falloir le dresser à n’agir que sur commande. Nous arrivons dans le parking où est garé le break d’Elodie, une énorme américaine.
–C’est quoi cette voiture ?
–Une Chevrolet Caprice 427 de 1966, c’est une des voitures de série les plus longues qu’ait fait Chevrolet.
–Tu roules en voiture de collection ?
–Oui, j’adore ce genre de voiture, j’en ai une seconde dans un garage à Vélizy, je change toutes les semaines de voiture pour les faire rouler.
–C’est quoi l’autre.
–Une Eldorado de 1965 cabriolet, encore plus longue que celle-là.
–C’est quoi une Eldorado, je ne connais pas cette marque.
–Une Cadillac ...