Drague avec mes fesses (14)
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: zooph34, Source: Xstory
Le lendemain, je me lève la première vers sept heures, je m’habille, micro jupe, corsage transparent et blouson chaud pour descendre promener Hector et acheter du pain et des croissants à la boulangerie juste à côté de chez moi. Il fait froid, mes fesses, toujours à l’air, le ressentent et je commence à sérieusement mouiller. Hector le sent, il se glisse derrière moi et essaye de passer son museau sous ma jupe, comme il n’y a personne à cette heure, je ne dis rien, pour voir ce qu’il veut faire. Il donne un coup de langue entre mes cuisses, sa langue glisse entre elles et remonte entre mes fesses. Je suis tétanisée par un violent frisson, il recommence une seconde plus tard, puis une nouvelle fois. C’est trop bon cette langue chaude sur mes fesses gelées, je m’appuie contre un arbre, j’écarte les jambes pour lui libérer plus de place. Sa langue se glisse entre mes cuisses pour remonter le long de mes lèvres, je suis de plus en plus dans les vaps, je sens le plaisir monter lentement en moi. Je regarde autour de moi, personne à l’horizon. Je le laisse faire jusqu’à ce que mon corps exulte dans un violent orgasme, mon corps est secoué par de puissants soubresauts, je me retiens à l’arbre comme je peux, secouée par ce violent orgasme. Je réussis à me reprendre, vais acheter le pain et les croissants en l’attachant dehors et décide de me balader un peu avant de rentrer. Hector est étrangement calme, il n’essaye pas de soulever ma jupe, pourtant je mouille de plus en plus, je sens ...
... ma cyprine couler le long de mes cuisses, mais juste au moment où j’arrive à mon immeuble, Hector recommence, il me soulève la jupe et me lèche entre les fesses. Je pose ma main sur la poignée de la porte pour l’ouvrir, mais, instinctivement, je me retourne et m’adosse à elle. Hector se jette sous ma jupe et me lèche le clitoris qui émerge de mes lèvres, je suis de nouveau prise par un violent orgasme et obligée de me retenir à la poignée de la porte pour ne pas tomber. Je jouis debout, me retenant à une porte pendant qu’Hector continu de me lécher la chatte. Je regarde autour de moi, je vois un homme au bout de la rue, à une centaine de mètres, je suis envahi par ce sentiment de risque qui décuple le plaisir, j’ai un nouvel orgasme, encore plus fort. Après un dernier orgasme, je vois que l’homme n’est plus qu’à une trentaine de mètres, j’arrive à me ressaisir, à calmer Hector qui commence à bander, ouvre la porte et entre juste au moment où le concierge sort de chez lui pour rentrer les poubelles. Il vient m’embrasser, je le connais depuis toujours.
–Toujours aussi belle ma Julie, mais c’est à toi ce monstre ?
–Non, à une amie que j’héberge quelque temps, les chiens ne sont pas interdits j’espère ?
–Non, bien que personne n’en a ici.
Je monte par les escaliers, lentement, en sautillant pour faire voler ma jupe, je sais que le concierge ne va pas en perdre une miette. En entrant dans l’appartement, je sens une bonne odeur de café, c’est Elodie qui prépare le petit ...