1. Un quatuor familial (1)


    Datte: 09/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... familiale". Ce à quoi Annette lui répondit que ce n’était pas sa faute si "elle avait du mal à jouir" et célébra l’œuvre de Jeannot qui avait été "très vaillant". C’est alors que Luc exhiba une queue toujours en été de marche et offrit ses services à sa belle-sœur, si toutefois elle n’y voyait pas d’objection et Annette et Jeannot non plus. Lisette devint pensive et regarda Jeannot qui ne dit mot. Depuis qu’il avait senti la langue d’Annette sur ses couilles, il avait quelque peu assoupli sa position relativement au mélangisme beau-frère, belle-sœur. Surtout au spectacle de celle-ci empalée sur Luc.
    
    Annette prit la parole et donna son accord, à condition d’avoir carte blanche pour réveiller Jeannot, devenu flapi. Dans son for intérieur, elle ambitionnait de rendre à cette bite sa taille érectile, n’ayant pas eu à sa disposition un tel calibre depuis des lustres. On aurait pu ainsi discutailler sur le plumard pendant un bon moment si Luc n’avait pris l’initiative de glisser un doigt fureteur dans la fente de Lisette, histoire de vérifier son état. Ce fut comme s’il avait appuyé sur le bouton d’un mécanisme érotique et Lisette plongea bouche ouverte sur sa queue. Ce que voyant, Annette fit de même avec le beau morceau de viande qui pendouillait sur la cuisse de Jeannot.
    
    Et par une sorte de réflexe conditionné, les deux couples se retrouvèrent allongés côté à côte dans la position du 69, tête-bêche, et les deux hommes dessous, si bien que les deux femmes pouvaient ...
    ... observer en tournant la tête le travail buccal de leur mari, ce dont elles étaient évidemment incapables dans le cadre d’un accouplement légitime. Une sorte de bonus, en somme, par rapport à ce qui se passait au même même moment entre leurs cuisses.
    
    L’avantage était toutefois dans le camp du duo Luc-Lisette, car celle-ci n’avait pas d’effort à fournir pour ranimer la flamme. Lisette abrégea les préliminaires, car elle avait un besoin urgent de pénétration. Elle s’empala et offrit à Luc le spectacle somptueux de sa vaste croupe en mouvement. Luc, qui auparavant avait saisi son appareil photo numérique, abondamment utilisé la veille au soir, décida d’immortaliser l’événement hôtelier autant que familial. Il n’avait pas honoré un cul pareil depuis des lustres et se promit de le visiter plus en détail avant la fin de la matinée. En attendant, il le mitrailla de son flash tout en constatant qu’à côté de lui, Annette était en train de réussir dans son entreprise de revigorer Jeannot à grands coups de langue et d’aspirations. Re-photos.
    
    Lisette se retourna et soumit à Luc la vision de ses plantureux nichons dont les mouvements, suivaient ceux de leur propriétaire, tantôt penchée en avant, tantôt rejetée vers l’arrière, toujours dans l’intention de faire aller la pine dans les zones les plus sensibles de son bas-ventre.
    
    Devant tant d’enthousiasme sexuel, Luc en oublia qu’il s’agissait de sa belle-sœur. Puisqu’elle se comportait en chienne, il allait la traiter en chienne. Après ...
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