1. Un quatuor familial (1)


    Datte: 09/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Roberts, Source: Xstory

    ... aussi avoué qu’elle avait trompé une fois son mari avec un militaire gradé, expérience sans lendemain. "Je n’ai pas aimé me cacher pour faire l’amour" a-t-elle expliqué à sa sœur, en reconnaissant qu’elle enviait sa liberté avec Luc. Toutes deux sont toutefois d’accord sur un point : elles aiment le sexe. Mais pas forcément de la même manière.
    
    Evoquons maintenant les maris. Luc, comme sa femme, a conservé un physique de jeune premier, mince, imberbe. En revanche, Jeannot est très sexué : corpulent, velu, solide buveur et mangeur. Le cul intéresse davantage le premier que le second, même si Jeannot "assure", selon le mot de son épouse.
    
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    Revenons maintenant au cours du récit. Le jour commençait à se lever et à éclairer la chambre quand Annette ouvrit un œil et réalisa qu’ils étaient quatre dans le même lit. Et qu’ils étaient tous nus, la couette rejetée à cause de la chaleur. Humaine notamment. Et une fois qu’elle eut compris la situation en émergeant d’un sommeil lourd, elle observa. Luc était au bord du lit, elle à côté de lui au milieu, tout contre sa sœur, et Jeannot à l’autre bord, tout près de basculer par terre à en juger par sa tête sortie de la couche. En revanche, le corps était encore en place, allongé, jambes écartées (des jambes poilues et massives) et surtout, Annette ne pouvait pas la louper, une énorme bite en érection. "Mon Dieu, pensa Annette, il est drôlement équipé, le beau-frère, Lisette m’avait caché ça". Précisément, la sœur ...
    ... commençait à sortir de son sommeil en gémissant :
    
    — Tu peux pas te pousser un peu, j’ai chaud.
    
    — Non, je suis bloquée par Luc, répondit Annette en chuchotant, avant d’ajouter : dis donc, tu as vu ton julot ? Je ne sais pas à quoi il rêve, mais sûrement pas à la mort.
    
    Lisette se retourna, rosit et se redressa pour tenter de ramener la couette sur le lit afin de cacher l’état de son mari. Annette l’en empêcha :
    
    — Tu es folle ? On crève déjà de chaud ici. Tu ferais mieux de le soulager.
    
    — Comment ça ?
    
    — Ben, suce-le, tiens. Branle-le jusqu’à ce qu’il éjacule. Moi, c’est ce que je ferais.
    
    — Mais... ce n’est pas possible, pas ici, pas maintenant.
    
    — Et pourquoi pas ? Si tu ne le fais pas, je m’en charge. Une bite pareille, ça s’honore, ou alors, on ne la mérite pas.
    
    — Luc dort ?
    
    — Oui, tu peux y aller. Allez quoi ! Sinon, laisse-moi ta place.
    
    ************
    
    Lisette céda. Se penchant sur le giron de Jeannot, elle goba le gland d’une bouche prudente, tout en lèvres. Jeannot sursauta, se réveilla et considérant la situation (Annette faisant semblant de dormir), soupira d’aise et mit sa grosse patte sur la nuque de son épouse pour l’inciter à y aller franco. Lisette, sa sœur le constata, savait y faire. Son mouvement rotatif de la main autour de la bite épaisse qu’elle pompait était la marque d’une experte. Jeannot était visiblement ravi de ce réveil inattendu. Il le fut moins quand il s’aperçut que sa belle-sœur l’observait d’un œil goguenard :
    
    — Alors, mon ...
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