La petite cavalière
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
grossexe,
collection,
amour,
Auteur: Toubab, Source: Revebebe
... Je la sens se tendre et réprimer un cri avant de me repousser. Ma tête toujours entre ses mains, elle m’embrasse avec fougue. Ou, plutôt, elle lèche sa liqueur sur mes lèvres. Dans le même temps, elle entreprend de me défaire de ma chemise. Je l’y aide. Puis c’est à ma ceinture qu’elle s’attaque. Je l’y aide aussi, me mettant debout, face à elle, pour retirer mon pantalon. Là, elle ne peut plus rien ignorer de ma particularité physique. D’ailleurs, ses yeux sont écarquillés, comme hypnotisée par l’énorme bosse qui déforme mon boxer.
Je crains un peu sa réaction. Elle ne dit rien. Elle me la touche doucement, de la façon dont on touche quelque chose de fragile, de dangereux ou de sacré. Le silence commence à me peser. Il faut que je fasse ou dise quelque chose pour juguler la crainte qui monte en moi. Mais quoi ? La réponse vient de Julie qui se décide soudain à baisser mon sous-vêtement. Enfin libéré, mon membre se déploie juste sous son nez. Elle a un petit mouvement de recul.
— Oh dis donc… c’est… c’est…
— C’est trop gros ?
— … c’est énorme !…
— Tu sais, Julie, on n’est pas obligé de…
Je ne vais pas jusqu’au bout de ma phrase car je sens que je vais m’empêtrer dans mes explications. Et aussi (et surtout), car Julie vient de me prendre en main. Une main qui empoigne ma queue et fait un doux mouvement de coulisse. Une main qui m’approche de son visage, pose mon gland sur sa joue pendant que ses lèvres bécotent ma hampe. Un petit tour, une succion sur le gland et ...
... puis s’en va.
— Elle est vraiment très grosse…
— Oui, je sais, mais on n’est pas obligé de…
— Tu as des capotes ?
— Oui, pourquoi ?
— Pourquoi ? Parce que je veux la sentir en moi !
Julie a dit cette dernière phrase avec une envie et un entrain qui me rassurent. Aussitôt, je déballe une King Size pour emballer mon King Kong. Puis je reviens sur le lit et m’y allonge sur le dos. Le message est clair. Julie vient sur moi, écrasant mon membre entre sa fente et mon ventre. Nos bouches se trouvent et se dévorent. Mes mains caressent ses seins, sa nuque, son dos, ses fesses. Son bassin ondule magnifiquement. Elle pourrait me conduire à l’orgasme ainsi. Mais elle me veut en elle. Elle se redresse, positionne mon membre à l’entrée de sa fente et…
C’est étroit et serré. Et accueillant. Julie prend un plaisir énorme rien qu’à me faire progresser lentement en elle. Parfois l’expression de son visage me fait hésiter : plaisir ou douleur ? Julie me rassure. C’est fort, c’est intense, c’est bon. Chaque centimètre de plus lui arrache un petit cri de plaisir. Petit cri qui devient râle, puis grognement.
Enfin, nos pubis se touchent. Elle ondule des hanches en me gardant au fond d’elle.
Et puis, quasiment immobile, je la sens se crisper, sa bouche s’ouvre comme pour chercher de l’air, elle enfouit son visage au creux de mon cou, au plus profond de l’oreiller. Elle atteint l’orgasme mais ne le laisse pas arriver. D’un geste vif, elle me retire d’elle, elle se désarçonne. Elle ...