La petite cavalière
Datte: 09/08/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
grossexe,
collection,
amour,
Auteur: Toubab, Source: Revebebe
... ensemble, d’abord avec Claire, puis seuls. Quand il devient évident qu’elle a des sentiments pour moi, je me demande que faire. Question d’autant plus difficile que je commence moi-même à tomber amoureux. En attendant de pouvoir y répondre, je fais en sorte d’éviter les rencontres en soirée et toute autre situation pouvant déboucher sur un « chez toi ou chez moi ? »
Mais je ne peux pas éviter l’anniversaire de Claire.
Trente ans, ça se fête. Et, pour l’occasion, le copain de Claire a loué tout un gîte pour un week-end surprise. J’y retrouve bien sûr Julie. Elle est particulièrement en beauté avec une petite robe noire toute droite, légèrement décolletée, des talons hauts et des bas avec une couture blanche. Belle et très heureuse d’être là. Nous passons quasiment toute la soirée dans une troublante proximité. L’alcool, la danse, les regards échangés, les mains qui se posent sur le bras ou l’épaule de l’autre à la moindre occasion. Je me retrouve à flirter comme un ado et j’adore ça. Fatalement, alors que nous sommes sortis fumer une cigarette, je la prends dans mes bras pour la réchauffer, elle prend ma tête entre ses mains pour m’embrasser. Elle m’embrasse et m’embrase. Mon cœur bondit, ma tête tourne de bonheur. C’est tellement fort que l’afflux de sang qui s’opère au niveau de mon caleçon me paraît anodin.
On se bécote ainsi pendant une éternité avant que le froid nous rappelle à l’ordre. De retour à l’intérieur, Julie me conduit par la main dans les étages, vers ...
... sa chambre. Il y a bien un instant où je redoute sa réaction quand elle va voir la chose. Mais, je suis surtout pris par la chaleur et la passion de nos baisers. C’est à peine si je remarque que Julie vient de me faire basculer sur le lit pour s’allonger sur moi.
Je sens son petit corps nerveux vibrer sous mes mains. En remontant sous sa robe, j’ai la confirmation qu’elle porte bien des bas et, plus haut, un tanga qui me permet d’apprécier la douce fermeté de ses deux petites pommes. Elle frotte son bas-ventre contre le mien mais, mis à part, l’excitation, elle n’a aucune réaction particulière. Je me redresse pour pouvoir caresser sa poitrine. Elle devance mes désirs en se mettant debout et en retirant complètement sa robe. Sa poitrine m’apparaît libre de toute entrave. Deux petits seins mignons et délicats qui appellent mes caresses et mes baisers. Tout comme le reste de sa peau, douce et légèrement hâlée. Tout comme cette fine toison qui forme un triangle parfait dont la pointe se perd entre ses jambes.
Allongée sur le dos, Julie jouit sous l’effet conjugué de mes doigts et de ma langue. J’aime son odeur et le goût de son désir. Son sexe est un délice que je veux voir figurer chaque jour à mon menu. Je m’en régale et me régale de savoir que je lui procure beaucoup de plaisir. Un plaisir qu’elle exprime silencieusement, par des soupirs profonds et des mots murmurés. Il faut dire que, du couloir, nous viennent les bruits des autres invités qui regagnent leurs chambres. ...