1. La petite cavalière


    Datte: 09/08/2018, Catégories: fh, fplusag, grossexe, collection, amour, Auteur: Toubab, Source: Revebebe

    ... que nous faisons l’amour ? Il n’y a pas de pénétration, pas même de jeux de bouche. Pourtant, avec des caresses aussi simples qu’expertes, nous allons droit à la jouissance. Une jouissance partagée les yeux dans les yeux qui me laisse complètement ému. Une émotion qui perdure dans le silence qui suit pendant que nous nous essuyons et nous habillons. Juste avant de quitter la chambre, je dis à Caroline que j’ai vraiment aimé les moments passés ensemble. Elle aussi. Elle aimerait me revoir mais pas à l’auberge. Je lui laisse mon numéro de téléphone et elle m’appellera.
    
    C’est dans l’attente de l’appel de Caroline que je me rends compte que je ressens quelque chose de particulier pour elle. De l’amour ? Je n’irais pas jusque-là. Enfin, je ne sais pas. Je ne sais plus. Cela fait tellement longtemps que je n’ai pas été amoureux. J’ai éprouvé de la sympathie pour les femmes de l’auberge, du désir pour Nathalie, de la tendresse pour Diane et Muriel… Mais de l’amour, je n’en ai pas souvenir. Cela doit remonter à des lustres, à l’adolescence, à Anaïs.
    
    Que ce soit de l’amour ou pas, je sens mon cœur faire des bonds dans mon corps quand Caroline reprend enfin contact, dix jours plus tard. Elle est de passage en ville et me propose de nous voir. Rendez-vous est pris pour le jeudi soir. Elle a un repas d’affaire et me retrouvera vers 22 h chez moi. Jeudi, c’est dans deux jours. Et deux jours, c’est exactement le temps qu’il me faut pour ranger, nettoyer et faire briller mon studio. ...
    ... Il y a même un bouquet de fleurs qui trône sur ma table basse quand Caroline découvre mon petit chez moi. À son arrivée, après un baiser sur la bouche, elle me montre son petit sac de voyage, me disant qu’elle n’a pas envie de traverser toute la ville de nuit pour rejoindre son hôtel. Moi qui me demandais comment allait se passer la soirée, me voilà fixé. J’avais remarqué, à l’auberge, qu’elle aimait le whisky, je nous en sers un verre que nous buvons côte-à-côte sur mon petit canapé. Côte-à-côte puis face-à-face, puis enlacés.
    
    Ma main droite suit doucement la courbe extérieure de sa cuisse. Sa main gauche se pose directement sur ma queue. Je suis le liseré de ses bas pour toucher la peau tendre de ses cuisses. Elles s’ouvrent pour me laisser accéder à un fond de culotte détrempée. Elles se referment aussitôt dans un sursaut, entravant tout mouvement de ma main. Ai-je été maladroit ?
    
    — Va doucement, cela fait une éternité que je n’ai pas eu d’homme.
    
    Je lui propose de commencer par se mettre à l’aise. Chacun déshabille l’autre entre deux baisers énervés. Je fais un festin de ses seins dont les tétons sont durement érigés. Je m’agenouille pour la débarrasser de sa culotte. Un baiser sur sa fine toison suffit à lui provoquer un nouveau frisson. Je la fais alors pivoter pour embrasser ses fesses, les palper, frotter mon visage contre ce cul magnifique, rond, merveilleux. J’ai terriblement envie d’accéder à sa raie, de la lécher sur toute sa longueur et, aussi, toute la ...
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