1. Mon harem se constitue (1)


    Datte: 07/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: groszeb, Source: Xstory

    ... sur la fente, Halima lance un «ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii», et je fonce en elle, comme on glisse dans un toboggan géant, du genre qu’on voit dans les parcs aquatiques.
    
    - «ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »…. «Euhhhhhhhhhhhhhhhhhhh »
    
    Les cris de Halima se suivent et se ressemblent pas, aussi bien par le continu que par l’amplitude de la voix.
    
    - Enfonce-le…. Enfonce… Enfonce-le…. Enfonce… Ahhhhhhhhhhhhh… A fonnnnnnnnnnnnnnnd….
    
    Je fonce à fond, et je maintiens ma position, et même, je pousse encore :
    
    - Ouiiiiiiiiiiiiiiiii….
    
    Je regarde la placeuse, encore à genoux, à quelques centimètres de cette rencontre magique.
    
    - Déshabille-moi totalement.
    
    Elle s’active à m’enlever mes souliers puis mes chaussettes. Me débarrasse de mon pantalon, et m’enlève ma veste et ma chemise, pour être complétement à poil. Je me sens plus libre. Le va-et-vient peut reprendre de plus beau, et surtout de plus fort… Je fais varier la cadence, et je joue sur le rythme. Des moments un mouvement très rapide. Parfois, presque au ralenti. Mais aussi, immobiliser mon sexe au fond de son vagin.
    
    Soudain, je sors complétement, je saute sur le divan, et je m’assois. Les deux me regardent. Je tiens mon sexe de toute ma main, et je m’adresse à Halima :
    
    - Viens t’assoir dessus.
    
    En silence, elle se presse de se lever, et vient m’enjamber.
    
    - Non, dans l’autre sens.
    
    Elle m’enjambe, en m’offrant son dos. Pas besoin de guider le coït, le glissement se fait avec la ...
    ... plus grande facilité du monde. Elle descend à fond, s’immobilise un peu, opère des mouvements circulaires avec son bassin :
    
    - Ta pute te plait… Je suis ta pute.
    
    J’incline Halima un peu, pour me diriger vers la placeuse :
    
    - Débarrasse-là de sa robe.
    
    Halima n’avait besoin que de cet ordre, pour enlever d’un coup sa robe, je décroche les agrafes d’un soutien, qui tient mal deux mamelles en quête de liberté. Mes mains s’empressent de tenir les deux tétons, les pincer tendrement, et surtout de les tirer. Je sens pleinement son odeur d’ébène sauvage, et la tendresse de sa peau mieux que les velours du monde. J’embrasse son dos en jouant avec les seins.
    
    A l’image d’une voiture qu’on vient d’activer le démarreur, Halima entame son oscillation, entre un plafond limité par la taille de mon sexe qu’elle veut toujours en elle, et un plancher que fixe le contact entre mes hanches et ses fesses.
    
    Je l’incline un peu, je vois la placeuse toujours à genoux, comme prise dans un autre monde.
    
    - Toi…. Oui, toi….
    
    Elle me regarde comme réveillée d’un joli songe. Et parait toute attention.
    
    - Tu as déjà bouffé le minou d’une femme ?
    
    Elle me fait «non» de la tête.
    
    - Il est temps de commencer… Viens…
    
    La placeuse arrive à genoux, et met les mains sur les cuisses de Halima, qui n’a pas arrêté une seconde son oscillation. Je glisse mes fesses encore plus au fond sur le divan, et je fais cabrer Halima à fond en arrière, et j’en profite pour frotter son dos avec ma barbe ...
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