1. Mon harem se constitue (1)


    Datte: 07/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: groszeb, Source: Xstory

    ... d’un aimant, les deux mains se rejoignent très vite sur le mont, dont le sommet ne cesse de prendre de hauteur…
    
    Résumons la situation, je dirai : Assis au milieu, j’ai une main dans le sexe de chacune. Deux mains entremêlées, caressent ma bosse. Mes mains s’activent séparément dans deux sexes, complétement différends.
    
    Certes, les deux sont poilus, mais différemment : Celui de la noire, de loin plus «volumineux», avec un lac de loin plus brulante. Deux lèvres énormes et un clitoris de bonne taille, à la fois raide et très sensible. La placeuse, a un sexe plus plat, une «chevelure» plus lise, même si sa «forêt» est moins dense. Question de température, on est entre un sauna très chaud d’une part, et une douce journée d’un printemps sur les côtes bretonnes.
    
    J’augmente la vitesse, et je passe à une cadence supérieure : Une alternance entre un jeu avec les lèvres et le clitoris, et une pénétration au fond du puit. A l’image de deux «machines» qui répondent à leur utilisateur, la respiration des deux, devient plus forte. Un crescendo se met en place, avec une synchronisation digne des plus professionnels des orchestres harmoniques. Dans une transe, qui diffère d’amplitude entre les deux «musiciennes».
    
    Chacune a pu contrôler les gémissements de l’orgasme à sa manière : La noire, en crispant ses cuisses sur ma main, et mordant (assez fort, je dois l’avouer) mon épaule. L’autre, de loin plus silencieuse, n’a fait que s’incliner en silence.
    
    Comme réveillée, ma compagne ...
    ... s’incline sur mes cuisses, et tout en tâtant ma bosse, s’adresse à la placeuse :
    
    - Cet adorable, mérite bien fellation ?
    
    Un «oui» timide lui répond. Je prends mes deux complices par les épaules, et je leur dis :
    
    - Regardons le film, on ira après s’éclater chez moi.
    
    - Chez toi, tu habites loin ?
    
    La question vient de ma noire.
    
    - A deux rues derrière ce cinéma….
    
    - On y va de suite, je ne peux plus attendre.
    
    La noire dégage sa main, s’active pour faire descendre sa robe, prend son manteau, et commence à cogiter. La placeuse dit d’un ton timide :
    
    - Je peux… Je peux venir avec vous.
    
    La noire lui répond :
    
    - On a commencé ensemble… On va s’éclater ensemble.
    
    - Attendez-moi au coin de la rue, je m’arrange avec ma collègue.
    
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    Au coin de la rue, la noire semble nerveuse. Je dis :
    
    - On va baiser à trois sans connaitre ni ton prénom ni le sien…
    
    - Moi, je m’appelle Halima.
    
    - Enchanté, je suis Aymen.
    
    Halima semble nerveuse, je lui dis d’une voix douce :
    
    - A ce point, excitée ?
    
    - Pas uniquement, je suis sans mon slip, et je commence à avoir froid.
    
    - Tu n’as rien à perdre.
    
    - Dis, tu as un beau calibre… Quelle taille ?
    
    Avant de répondre, on voit la placeuse arriver. Je la distingue pour la première fois : Une femme brune, la cinquantaine environ, de taille moyenne, avec un manteau noir qui porte l’usure du temps, et des chaussures plates. Une femme banale... On part ensemble. Une hiérarchie s’installe ...
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