-
Mon docteur... chéri ?
Datte: 06/01/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le débauché, Source: Hds
... place ses mains sous mes cuisses pour imposer son rythme. Je n’ai pas l’habitude de cette position. Sa bite appuie sur des points inhabituels et je jouis vite. Vite et fort. Il attend quelque seconde puis me murmure à l’oreille. — Aller petite salope retourne toi, je vais t’enculer. Et tu vas jouir. Je suis encore dans les brumes de mon orgasme. Je ne sais pas si c’est lui qui me positionne ou si je le fais moi-même mais je me retrouve de dos, sur ses cuisses. Je sens sa queue qui cherche son chemin… et le trouve. La douleur cette fois est infime. J’ai envie de diriger les opérations. Il me laisse faire. Je me trémousse sur sa grosse bite et c’est bon de la sentir me fourrager. Puis je prends appui sur ses cuisses pour me soulever et… m’empaler. Lentement, puis de plus vite. Il m’arrête et me préviens : — On va glisser au sol, je peux pas te défoncer dans cette position. Il reste enfoncé et je me retrouve à quatre pattes. — Maintenant relève toi doucement en restant penchée en avant. Il m’enserre de ses bras pour maintenir son bassin contre mes fesses. — Garde les jambes tendues et penche-toi encore un peu. Je suis souple et je prends facilement la position. — Attrape tes chevilles. Voilà parfait, je vais pouvoir te défoncer. Et il le fait… et je n’arrête pas de hurler comme une chienne. Il s’en donne à coeur joie… me pilonne et s’enfonce comme s’il voulait chercher à rentrer ses couilles. Je jouis plus fort, bien plus fort que lorsqu’il m’a ...
... baisée dans la chatte. Je sens aux palpitations de sa bite qu’il ne va pas tarder à jouir alors je hurle : — Dans ma bouche… dans ma bouche docteur. Il se retire précipitamment, viens devant ma bouche, arrache la capote et… entre pour jouir. Plusieurs jets puissants que j’avale avec délectation. Je le nettoie avec la langue puis sans un mot il va récupérer sa blouse. Et moi, je me rhabille. Maintenant que le plaisir s’est estompé j’ai quand même un peu mal au cul. Assise à son bureau je demande : — Je vous dois combien docteur — C’est cadeau ! La voix… l’expression… le ton chantant. C’est tout Richard ça ! Merde c’était pourtant pas sa bite. Si ? Oh je sais plus ! Il m’a tellement excitée ce « docteur ». Je me retrouve bientôt dans la rue presque hébétée. Lorsque Richard rentre, le soir, je ne le quitte pas des yeux. Je veux le mater sous la douche. Je crois que ça lui plait ! Je détaille sa queue. Non, elle n’est pas si petite que ça, en fait. Il faudrait qu’il bande. Ça ne tarde pas et alors là je ne sais plus ! Celle du docteur m’avait parue énorme mais peut-être qu’elle ne l’était pas tant que ça ! Ça m’agace, et plus tard, lorsqu’au cours du repas Richard me demande : — Ça été ta journée ? — Oui. Je le regarde. Il me semble attendre quelque chose. Alors je lance : — Je suis allée chez le toubib. — T’es malade ? — Heu… Non, une convocation. — Médecine du travail ? — Heu… Oui. Et là je me demande soudain si les textos émanaient ...