1. Mon docteur... chéri ?


    Datte: 06/01/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le débauché, Source: Hds

    ... sur ma main. Sans réfléchir je bouge les doigts. Ils sont à hauteur de son sexe. Je ne peux pas me retenir. Je cherche un passage. Merde, il est à poil sous sa blouse. Pourquoi ne l’ai-je pas vu avant ? Quand a-t-il retiré son pantalon ? De toute façon je m’en fous. C’est bien qu’il soit comme ça. Je prends de l’assurance. Je glisse les doigts sous ses bourses. Elles sont lourdes. J’ai envie qu’il retire sa blouse. Qu’il me montre sa bite ! Je m’embrase et de mes doigts fébriles j’arrive à déboutonner le bouton du bas. Sa queue jaillit. Et là, je sais. Ça n’est pas Richard ! Celle-là est trop grosse, trop épaisse… trop belle ! Je vais tromper mon chéri. C’est mal. Immoral. Mais j’ai perdu pied depuis trop longtemps pour parvenir à me ressaisir maintenant. D’ailleurs je n’en ai pas envie. Je veux subir tout ce qui m’attend. Le « docteur » me saisit les mamelles. Oh oui, vas-y pelote moi bien. j’adore ça et c’est la meilleure façon de bien me chauffer. Le sait-il ? Il me malmène les tétons… Délicieux ! Allez, approche encore un peu. Il a dû m’entendre car il est maintenant à ma portée. Je tourne la tête et sans préambule je gobe son gland. Il est chaud, humide… savoureux… un peu gros peut être pour ma petite bouche. Je n’ai pas l’habitude mais je vais m’y faire. Je fais des mouvements de succion et je sens son plaisir dans les spasmes de sa queue. Je lèche le gland puis je descends la langue le long du frein… Jusqu’aux couilles que je lèche et que j’essaie de prendre dans la ...
    ... bouche : trop grosses. Je les embrasse… puis je remonte très lentement pour, d’un seul coup enfoncer toute sa bite. Je manque de m’étouffer. Mais ça ne fait rien. Je veux lui faire une gorge profonde… puis deux… puis trois… Il soupire, il râle… Ah, tu m’as bien excitée mon cochon. Maintenant c’est à toi de de subir. Soudain je me mets à pomper. Presque frénétiquement. J’ai une furieuse envie de lui vider les couilles…. pour lui apprendre à m’avoir trait… à m’avoir obligée à me branler devant lui… je vais te faire cracher mon salaud ! Mais il se retire. Non ! J’aperçois la blouse tomber. Il glisse jusqu’au bout de la table. Je le vois déchirer un emballage de capote du bout des dents. Il se la met, m’attrape les chevilles et me tire puis il me croise les jambes et d’un mouvement de rotation me retourne sur le ventre.
    
    — Et maintenant je dois voir si c’est bon de vous baiser madame Imbert.
    
    Sa phrase à peine achevée il me pénètre d’un grand coup de reins. J’ai du mal à sentir la chaleur de sa bite à cause de la capote. Mais tout le reste je le sens bien. Il entre… me pilonne… ressort… plus vite… plus vite… jusqu’à me rendre folle et je pète les plombs ! Je deviens grossière. Je lui dis que sa bite est bonne… qu’il me baise bien. Et c’est vrai ! Je veux encore l’encourager mais c’est lui qui s’y colle :
    
    — Tu as l’air de beaucoup aimer la queue toi.
    
    Oh oui, continue, continue à me parler. Il le fait :
    
    — Tu en as déjà eu des grosses comme ça ?
    
    Je réponds, ou pas ? ...
«12...567...»